1. Vacance chez mon oncle. Deuxième partie.


    Datte: 06/06/2021, Catégories: Première fois Hardcore, BDSM / Fétichisme Auteur: CrazyJoz, Source: xHamster

    ... ne parvenais pas à la faire bouger. Je paniquai tandis qu’elle bloquait ma mâchoire de sa main. J’étais d’accord pour le reste, mais pas pour ça ! Je me débattais, voulant recracher ce liquide visqueux, mais rien n’y faisait, elle ne lâchait pas son emprise.
    
    « Tu as désobéi, tu es donc puni, c’est comme ça. Tu veux que je te libère ? »
    
    Ne parvenant pas à parler j’acquiesçai de la tête.
    
    « Il n’y a qu’un seul moyen pour ça. Obéis, petit pervers. »
    
    J’aurais dû m’attendre à ce genre de chose... Sa voix et son regard me le disaient, elle prenait un grand plaisir à me torturer ainsi. Parallèlement, je sentais son bassin frotter contre mon sexe, et malgré la situation, une nouvelle érection se profilait.
    
    « Avale, et je t’offre ma petite chatte… Sinon on reste comme ça, jusqu’à ce que ton oncle rentre, s’il le faut. »
    
    Je ne voulais pas que mon oncle me surprenne dans cette situation. Et malgré moi, l’excitation était présente, je voulais sentir mon sexe envahir son intimité…
    
    La pièce était plongée dans le silence, comme si plus rien n’excitait en dehors de ces quatre murs. À contrecœur, j’obéis de nouveau. Un petit bruit de déglutition se fit entendre. Maria me souriait, elle paraissait tellement heureuse.
    
    « Bon choix, mon trésor. »
    
    D’un geste franc, elle fit pénétrer mon sexe dans son vagin. Cette fois le couinement vint de moi. Maria se mit à gesticuler, elle montait et descendait, mon sexe se faisait engloutir. Je voulus agripper ses seins, mais elle me ...
    ... repoussa et maintint mes mains sur le lit.
    
    « Fallait pas me faire attendre… »
    
    Elle m’embrasa de nouveau et accéléra la cadence. Mon gland me donnait des informations contradictoires, je ressentais du plaisir mais aussi un picotement intense dû à la précédente éjaculation.
    
    Je restai là sans rien dire, j’admirai Maria se dandinant sur moi. J’en oubliai sa fille tant je la trouvais rayonnante dans sa guêpière noire, je salivai à la vue de ses seins tremblotants. Ses mouvements furent plus violents encore, j’entendais un petit claquement à chaque fois qu’elle se laissait retomber sur moi, je voulais jouir, encore et encore, jouir indéfiniment pour elle.
    
    « Je… je vais jouir… maîtresse, haletais-je.
    
    — Tu as retenu… la leçon de… de tout à l’heure ? »
    
    J’acquiesçai, craignant qu’elle refasse le même coup, mais elle continua ses mouvements de bassin.
    
    « Très bien… Tu peux… jouir. »
    
    Je lâchai prise et sentis mon gland exploser à l’intérieur de son vagin. Maria libéra mes mains, je la sentis se raidir avant d’être prise de légers spasmes. Elle s’affala sur mon torse tandis que mon sexe faisait encore des troubles-sauts à l’intérieur d’elle. Mes bras l’enlacèrent, elle se laissa faire.
    
    Nous restâmes sur le lit quelques instants, nos deux corps collés l’un à l’autre par notre transpiration. Je sentais son cœur battre contre le mien. J’étais heureux. Elle ne disait rien, mais je voyais un léger sourire sur son visage. Elle brisa le silence.
    
    « Tu préfères quoi ? ...