Ma première soumission (Partie 2)
Datte: 06/06/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Lucille, Source: Hds
... jambes et me demande de ne pas bouger. Il ouvre la porte d’une armoire et en sors du cordage.
« Maintenant assieds toi. »
Je descends doucement et il m’immobilise à mi chemin. Il s’agenouille pour regarder entre mes cuisses et me saisie les hanches pour continuer à me faire descendre doucement jusqu’à que la pointe du cône pénètre légèrement mon cul. Je trésaille au contact de cette intrusion.
« Ne bouge plus ». Il s’empare des cordes et commence à me ficeler solidement les cuisses et relie le restant de la corde libre à la chaise de telle sorte que je ne puisse plus me remettre debout.
« Maintenant, ça prendras le temps qu’il faut mais tu finiras par t’assoir sur cette chaise. » Puis il me laisse là, se dirige vers le plan de travail et commence à découper tranquillement des tomates.
Ma position me rappelle celle que je prends pour aller faire pipi dans les toilettes publiques et qui est dure à tenir, surtout pour ne pas rentrer en contact avec bords des wc sales.
Je sens déjà mes jambes qui commencent à fatiguer. Au bout de 2 mn je n’ai pas d’autre choix que de descendre légèrement pour bouger les muscles de mes jambes qui commencent à se crisper de plus en plus. Je sens le cône s’enfoncer en moi et élargir mon anus qui glisse sur le lubrifiant. Quelques instant après je descends encore un peu pour me soulager. Le cône recommence à me dilater franchement. Je sens mon petit trou serré s’assouplir au fur et à mesure.
Il se retourne, vient vers moi, ...
... s’agenouille et regarde entre mes jambes. « Je vois que ça progresse, tu en es à la 3 ème graduation, donc 3 cm. C’est bien continu comme ça. »
Il repart dans la cuisine.
Je commence à souffrir énormément, mes muscles sont entrain de se tétaniser. Je descends encore un peu, ce cône est entrain littéralement de m’ouvrir le cul.
Je commence à pleurnicher de douleur. Mes jambes flageolent, je regrette vraiment de ne pas être allé plus souvent aux cours de squats.
Au bout d’un moment il revient vers moi et m’observe.
« 4cm, il en manque encore un bon 1cm. Le plus dur. Je vais te donner un petit coup de main. Tu sais ce qu’on dit, des fois il faut penser à autre chose pour atténuer une douleur. »
Il réouvre l’armoire et en sors 2 petites ventouses. Il récupère un peu de mouille sur ma chatte, m’en enduit les tétons, presse au maximum les ventouses avant de les coller sur mes mamelons. Il relâche. La succion est immédiate et violente. Je sens mes tétons être dévorés par l’aspiration, ça fait très mal, je ressens des picotements partout dans ma poitrine.
« 4,5cm, tu vois, les proverbes ne mentent pas ! »
Je ne m’en étais pas rendue compte mais j’étais encore descendue. Mes jambes étaient entrain de me lâcher, mes muscles cuisaient de douleur et la succion sur mes seins était tellement violente que le cône qui m’ouvrait le cul était devenu le moins douloureux des trois.
N’y tenant plus je fini de m’asseoir complètement. La base du cône disparait entièrement dans ...