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Tel est pris qui croyait prendre - chapitre 3
Datte: 05/06/2021, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Damador, Source: Hds
... entendait le tic-tac de l’horloge de la pièce d’à côté alors que le couloir était dans la pénombre. Les volets étaient à moitié fermés en raison de la chaleur et du soleil. J’allais dire un mot quand Julien me plaqua violemment contre le mur pour me rouler une pelle. Sa langue s’inséra fermement dans ma bouche et ce fut langoureux et savoureux et j’essayais de suivre le mouvement. Je retrouvai le goût de sa salive et cela me combla. Il n y avait pas besoin de parler finalement, on savait tous les deux pourquoi on était là. Il me glissa néanmoins à l’oreille, entre deux respirations « tu as mis du temps à ouvrir, tu ne voulais plus me voir ? » m’interrogea-t-il en m’appuyant fermement contre le mur. Alors que j’étais bloqué par ses bras et son corps, je lui répondis simplement « j’attendais que ça ». Il fit alors un sourire de satisfaction et me galocha de plus belle. Je ne savais pas trop comment poursuivre, l’amener dans ma chambre, rester au salon. Il anticipa mon hésitation en me déshabillant alors que nous étions encore dans le couloir. En un rien de temps, je me retrouvais nu, ma queue montrant déjà mon énorme excitation, presque douloureuse tellement elle était raide. Il tira dessus en rigolant puis il appuya sur ma tête et je m’agenouillai immédiatement pour me coller ensuite contre son entrejambe déjà dur. Je ne me fis pas prier pour ouvrir la tirette de son pantalon et aller chercher son énorme phallus, que j’attendais avec impatience. « Il t’avait manqué » ...
... dit-il fièrement alors que j’entamai de longs mouvement de va-et-vient et que j’essayais tant bien que mal de rentrer tout son sexe dans ma bouche malgré la taille de l’engin. Il prit rapidement la main et il commença à son tour à émettre de puissants coups de rein. Je me retrouvai agglutiné contre le mur et il me pénétra la bouche avec une violence inattendue. Il me laissa à peine un répit pour respirer et je sentais dans son regard l’envie de me baiser. Il n’avait plus d’hésitation, il savait ce qu’il voulait et moi aussi. Nous étions totalement complémentaires. Alors que nous fîmes une pause, il me proposa d’aller dans ma chambre. J’acquiesçai. Je lâchai un timide « c’est en haut » et il répliqua par un immédiat « et alors ? Je te suis ». Je sentais qu’il était énervé par ma remarque. En effet j’avais bêtement mentionné cela alors que je savais très bien qu’il boite fort mais qu’il est capable de monter des escaliers. Encore énervé, Il relâcha la pression sur mon corps et me laissa passer en premier pour monter. Alors que je m’apprêtais à me relever complétement, j’entendis qu’il cherchait quelque-chose dans son sac. Avant que j’eus le temps de comprendre ce qu’il se passait, je sentis qu’il passait autour de mon coup un collier. Je remarquai ensuite que le collier était attaché à une laisse qu’il tenait fermement en main. En un rien de temps, je me retrouvais attaché et totalement à sa merci. Je fis une grimace d’étonnement en me retournant vers lui. Mais j’acceptai ...