1. Floryda 2113 AD


    Datte: 23/01/2018, Catégories: f, fh, ffh, inconnu, gros(ses), fépilée, Collègues / Travail Masturbation rasage, Oral légumes, fsodo, sf, Auteur: Armitage, Source: Revebebe

    ... prison virtuelle de Forteresse 38 qu’Athlan, prisonnier modèle, avait suivi les cours de génétique, imposés par le juge. Son séjour en prison devant permettre à Athlan d’exercer un nouveau métier, afin de payer sa dette, Athlan travaillerait alors pour le compte de la Guilde des Généticiens, mais sans rémunération.
    
    Forteresse 38, la planète prison abritait tous les genres de prisonniers, du banal voleur de crédit à l’assassin, en passant par le violeur ou le trafiquant de disques holographiques. Pas de barbelés, pas de murs, pas de miradors, seulement un million de prisonniers surveillés par vingt gardiens aidés par des androïdes sentinelles. À son arrivée sur Forteresse 38, un prisonnier subissait le même sort que les autres : l’implantation d’une puce RFID dans le cortex cérébral. Chaque prisonnier avait ses quartiers qu’il partageait avec les autres dans un secteur bien spécifique et délimité.
    
    L’activité principale de Forteresse 38 résidait dans l’éducation et la réhabilitation des prisonniers. Athlan y avait donc fait de nouvelles études et, après une vision d’horreur, n’avait même plus cherché à s’échapper du Centre carcéral.
    
    Le matricule 2 356 124 avait enfreint la limite du secteur réservé aux hommes pour pénétrer dans le secteur des femmes (sa boulimie de sexe l’avait condamné à purger une peine capitale).
    
    Les gardiens se cantonnaient à la surveillance des écrans de vidéo surveillance des prisonniers, travail facilité par les sentinelles qui ...
    ... patrouillaient vingt-quatre heures sur vingt-quatre. La puce RFID renseignait les gardiens sur l’activité des prisonniers ainsi que leur géolocalisation.
    
    2 356 124 ne tenait plus en place : il échangeait depuis des mois une correspondance sous surveillance avec une détenue du quartier Est. Son ventre le brûlait d’un feu que la masturbation n’avait pas calmé. Il fallait qu’il trouve une femme ! Il l’avait trouvée par le biais des échanges mail inter-secteurs entre les prisonniers. La pulsion fut plus forte que la raison : 2 356 124 franchit son espace pour se mettre à courir en criant vers la femme assise sur le banc près de l’étang artificiel.
    
    Alertée par les cris, 44 879 se leva. Sa tenue de prisonnière laissait deviner des formes pleines. Elle vit un homme se précipiter dans sa direction. 44 879 reconnut de suite son correspondant. Elle aussi avait envie d’un homme : ses diverses expériences lesbiennes n’apaisaient pas son envie de copuler avec un homme. Elle se mit aussi à courir en direction de l’homme, comme convenu par le code échangé dans les mails. 44 879 fit glisser sa blouse de prisonnière au sol, elle ne serait pas gênée pour courir. Son corps nu n’avait pas dû prendre le soleil depuis longtemps, ses seins laiteux se balançaient au rythme de sa course, seules ses aréoles brunes marquaient sa poitrine comme deux yeux.
    
    Un voyant s’alluma sur l’écran de contrôle du gardien. Il esquissa un sourire et fit avec la caméra numérique haute définition un zoom sur la silhouette ...
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