1. Police polissonne (28)


    Datte: 15/05/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... vu nue au matin de leur petite fête, et il y a peu, lorsqu’il lui a remonté son pantalon, effleuré ses cuisses et vu de très près sa fente imprimée sur son boxer ; il n’a qu’une envie : la basculer et lui faire l’amour à la hussarde. Mais il n’en fera rien, le risque de tout perdre est trop grand. Si la jeune femme en parle, ce sera la cour martiale et la fin de sa carrière ; alors il préfère s’agiter le poireau en imaginant tout un tas de fantasme, tous les plus fous les uns que les autres. Ce soir il s’imagine nu devant elle, les mains liées dans son dos, et lui à genoux. Elle lui tend son pied nu, il est long et fin, l’odeur de la sueur lui remplit les narines.
    
    — Lèche ! lui ordonne-t-elle, d’un ton sec et autoritaire.
    
    Elle tient un fouet à la main, il se courbe en avant pour atteindre du bout de la langue les orteils aux ongles décorés de vernis rouge. Le fouet claque sur le sol, il bande. Dans sa tête la lanière de cuir siffle et s’abat sur son dos, puis elle passe entre ses fesses frappe son anus et l’extrémité bardée de pointes lui lacère la hampe puis les couilles. Il aime être malmené, et jouir dans la douleur ; alors tout en pensant encore plus fort à Sonia, il saisit ses baloches d’une main tire dessus comme pour les arracher et se branle avec force. Il éjacule et continue à se masturber jusqu’à ce que la douleur soit insoutenable.
    
    Dans la maisonnette, les ventres se remplissent, les bières défilent. La bonne humeur est bien là, ils chantent quelques ...
    ... airs de chansons paillardes bien connus ; comme« La digue du cul »ou « Le curé de Camaret » et bien d’autres encore. Sonia excitée par le concours de chant se lève, jette au feu les derniers cartons de pizza vide et saute sur la table.
    
    Elle offre aux convives une danse sensuelle, et vu le peu de vêtements qu’elle porte ; son effeuillage est rapide et se termine en nu intégral. Myriam aussi excitée que son amie, propose un jeu :
    
    — J’ai une idée : toutes les deux on passe sous la table et on suce les bittes et si on trouve celle qui correspond à son propriétaire ; alors, il pourra sauter la gagnante.
    
    — Belle idée, poursuit Sonia. Mais il faut nous bander les yeux et vous mélanger.
    
    — Ah Ouiii... ! s’exclament les garçons.
    
    Elle saute de la table et pour exciter les garçons, et tout en déshabillant Myriam ; elle lui roule une pelle digne des plus beaux films lesbiens. Les hommes au paroxysme de leur forme bandent les yeux des filles puis s’assoient sur les bancs de chaque côté de la table. À tâtons elles passent sous le meuble et embouchent la première bitte. Elles sucent, goûtent, palpent le membre et ses valseuses. Sonia annonce :
    
    — Ça, c’est Simon !
    
    — Oui, et pourquoi ?
    
    — Au goût, on dirait du sucre d’orge.
    
    Puis c’est au tour de Myriam de nommer le propriétaire du vit embouché :
    
    — Olivier !
    
    — Ouiii...
    
    Et ainsi de suite jusqu’au dernier, et le score tombe : Sonia, trois sur quatre ; Myriam seulement une bitte reconnue est déclarée perdante.
    
    — ...