1. Résonance primitive - 3


    Datte: 05/06/2021, Catégories: ffh, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral init, confession, Humour Auteur: Lokz, Source: Revebebe

    ... aussi, mais pas jusqu’au bout. Enfin sauf une fois. Roger n’a pas prévenu, et Marie a tout pris dans la bouche. Elle était furax. Nous n’avons plus vu Roger pendant deux semaines après ça. Plus tard, j’ai appris que pendant ces deux semaines, Marie l’avait revue, seule, plusieurs fois, pour le sucer encore, et avaler.
    — Et toi ? T’en avais pas envie ?
    — Pas à l’époque. L’odeur de son sexe, pas toujours clean, me répugnait.
    — Un crado.
    — Pas à ce point, mais nous nous voyions surtout en fin de journée, l’été, avant la douche. T’imagines ? Mais j’aimais faire monter le plaisir chez lui. Je me sentais puissante de le tenir par la queue. Mais ce que je préférais, c’était de me masturber devant lui, pendant que Marie le suçait ou le branlait. Le spectacle que je lui offrais, le rendait dingue. Je pouvais le lire sur son visage, mesurer l’impact. Il était comme une bête féroce au zoo, que je m’amusais à provoquer, à l’abri, de l’autre côté des barreaux. Il n’y avait que Marie pour le retenir. Mais parfois, je me suis surprise à espérer qu’il se jette sur moi, et qu’il m’enfonce sa grosse queue tout au fond de la chatte, pour y jouir.
    — Eh ben ! Pauvre gars. Enfin, pas vraiment. Pas pouvoir vous toucher…
    — Si, il nous touchait. Il nous mettait des doigts parfois. Il nous a même léchées. Il n’était pas aussi doué que Marie, mais compensait son manque de technique par son appétit. Et il se servait beaucoup de son nez aussi. Son grooos nez. Si j’avais été encore vierge, il ...
    ... m’aurait dépucelé avec.
    — Un sanglier, peut-être ?
    — Bon ! il faut que je te suce.
    
    C’était sa façon de clore son histoire ? J’étais pas contre.
    
    — Pourquoi il faut ?
    — Ta bouche sent ma chatte, et la mienne doit sentir ta bite. C’est pour Damien.
    — Il te l’a demandé ?
    — Non. Mais il aime aussi mes initiatives.
    
    Elle me fait mettre debout face à elle, et je n’ai rien d’autre à faire que de subir. Elle baisse mon pantalon et mon boxer à mi-cuisse, regarde ma queue déjà au garde-à-vous, contente d’elle, et remonte sa bouche en un contact léger et électrique, le long de ma verge, comme pour s’en imprégner.
    
    — T’as pas le calibre à Dudule, mais t’en as l’odeur, me dit-elle avec un sourire coquin, en arrivant au bout.
    — Oh ! je me suis lavé.
    — Oui ! Ce matin.
    — Tu préfères que je sente le gel douche à deux balles. Toi-même, tu sens pas la savonnette. D’ailleurs, ça me ferait chier. Une chatte qui sent le savon, l’horreur !
    — J’aime ton odeur. Elle me rend folle.
    
    J’avais la preuve sous les yeux. Elle me respirait autant qu’elle me goûtait. Elle était déjà en transe légère et me suçait en toute volupté, révélant en moi une grande gratitude et de la tendresse à son égard. Il y avait quelque chose d’émouvant dans ses pipes, quelque chose toujours à deux doigts de me faire pleurer.
    
    Deuxième interlude SMS. Aline sans sortir ma queue de sa bouche, attrape son téléphone et me le tend. « Serai là dans 5 minutes, bande de coquins ;) » À mon tour de cadrer. Aline prend la ...