Retour de soirée
Datte: 05/06/2021,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: PaulParis, Source: Hds
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Le mois de Juin était enfin là avec les premiers vrais beaux jours de chaleur, les apéros en terrasse et le rangement définitif des vêtements d’hiver.
Phanie, ma chérie, comme à son habitude était justement en virée apéro du vendredi soir avec ses anciens collègues. Une tradition quasiment, qui si elle me privait d’elle un soir par semaine, était pour elle un moment important de partage et de décompression.
Lorsqu’elle avait quitté notre maison le matin, je l’avais trouvée comme à son habitude, bien jolie avec sa petite jupe fluide qui lui arrivait à mi-cuisses, son petit top bleu assorti et une veste en jean. Elle portait des talons qui mettait en valeur le galbe de ses jambes.
Après ma journée de travail je rentrai donc à la maison content de savourer le début du week end. Phanie m’envoya un sms pour me dire qu’elle quittait également le boulot pour rejoindre ses amis dans un café à Montorgueil. Je lui répondais que j’avais hâte de la retrouver ce soir et que j’avais très envie d’elle. Elle me répondit par un smiley et ajouta que je n’aurai qu’à patienter alors.
Plus tard dans la soirée, je prenais de ses nouvelles. L’envie de son corps, de son odeur, le retour des beaux jours aidant je me sentis autorisé à lui demander si elle pouvait retirer sa culotte avant de rentrer. Nous aimons tous les deux ces petits jeux érotiques. Elle me répondit plus tard qu’elle tâcherait d’y penser.
Le temps passa et ...
... il était maintenant 00h30 quand je reçu un appel de Phanie. Sa voix était chevrotante et incertaine et je compris très vite qu’elle avait trop bu. Elle me dit qu’elle n’avait pas assez mangé, confirma qu’elle avait trop bu et qu’elle était à 10mn à pied à la maison. Mais elle ajouta qu’elle ne pouvait plus avancer, que ses jambes ne la portaient plus et me demanda de venir la chercher. Après avoir compris, non sans difficulté l’endroit où elle se trouvait, je lui demandai de m’attendre.
Je descendis les 4 étages de notre immeuble et me dépêchai d’aller à sa rencontre. De loin et malgré la pénombre, je la distinguais, assise sur une devanture de magasin. Arrivé à sa hauteur, elle leva la tête, me sourit et me dis qu’elle était contente de me voir. Je l’aidais à se lever et compris qu’elle était vraiment ivre. Ses jambes se dérobaient sous son poids, pourtant léger, et j’eus beaucoup de peine à la faire avancer. Je passais mon bras autour de sa taille et tentais de la faire avancer. Je commençais à me demander combien de temps il nous faudrait pour remonter jusqu’à la maison et surtout pour gravir les 4 étages de l’immeuble.
Nous avions parcouru une centaine de mètres et je sentais que Phanie se laissait de plus en plus aller. La maintenir debout devenait difficile. En remontant la rue du Faubourg Poissonnière nous avons dépassé un homme qui était assis sur les marches d’entrée d’un immeuble. Il était métis, d’environ 55 ans, les cheveux grisonnants. Sa tenue laissait à ...