1. Sophie à l'EHPAD (1)


    Datte: 04/06/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... cesse. Il n’était pas au rez-de-chaussée, car il était valide. J’entrai dans pour le lever afin qu’il puisse aller aux toilettes. Mais il restait immobile et ne bougeait pas d’un pouce.
    
    Mademoiselle Mireille ne m’avait donné que peu d’historique des malades. Je passais mes mains autour de ses hanches pour déboucler sa ceinture, fis glisser son pantalon de pyjama. Mais il ne bougeait toujours pas ; je décidais de me saisir de son sexe et le fis avancer au plus près de la cuvette du wc. Il commença à uriner et j’étais forcée de retrousser son prépuce pour qu’il n’en mette pas partout. Sa main continuait à trembler, je regardais le jet doré, tout en le dirigeant bien vers l’eau de la cuvette. Je pensais que c’était sûrement terrible pour lui de ne même pas pouvoir satisfaire un besoin pourtant bien naturel tout seul. Je secouais sa bite pour éviter qu’il mette des gouttes partout et nous regagnâmes la chambre. Je le déshabillais entièrement et j’eus à ce moment-là une pensée coquine.
    
    Je me mis à sourire. J’hésitais un instant et me disant qu’après tout, je ne ferais de mal à personne...
    
    Je me saisis de sa main qui tremblait et la plaçais autour de sa bite. Il s’agrippa son sexe rudement.
    
    La tremblote le faisait se masturber, ça peut paraître idiot de ma part, mais j’ai éclaté de rire ! Son membre s’était raidi et pour le coup, il se masturbait réellement, mais sans arriver à éjaculer. Je pris la relève et le branlais comme si je trayais un pis de vache, mais à part ...
    ... un peu de mouille, pas de sperme !
    
    Je le collais sous la douche pour pouvoir le laver et remis sa main en place, il ne lâcha pas son sexe de tout le temps que je le savonnais.
    
    Il n’y eut qu’au moment où je l’essuyais qu’il laissa retomber sa main le long de son corps. Je l’habillais pour la journée et le mis dans son fauteuil à regarder la télévision.
    
    Les deux autres visites étaient plus facile, car les hommes étaient déjà lavés et habillés, je leur donnais leurs médicaments et pris leur température. Je notais tous les chiffres sur la feuille de jour. Le plus dur restait à faire : il s’agissait bien évidemment de la chambre de Monsieur Roger et de celle de Monsieur Martin. Je redoutais la réaction après ce qui s’était passé cette nuit. Je pris mon courage à deux mains et entrai dans la première des chambres : Vide ?
    
    Heureusement, le haut-parleur résonna : Mademoiselle Mireille me convoquait dans son bureau. Je m’empressais de descendre les deux étages jusqu’au rez-de-chaussée. Je frappais à sa porte et attendai qu’elle me fasse entrer. Il se passa un petit moment, je réitérais mon geste et un tonitruant :
    
    — Entrez ! résonna à mes oreilles.
    
    À peine la porte refermée sur moi, elle me fit remarquer que si elle ne m’avait pas fait entrer la première fois, c’est qu’elle était occupée.
    
    — Il faut que vous soyez obéissante, ma petite Sophie. Bon, alors racontez-moi comment s’est passé votre première soirée et votre première nuit.
    
    Je ne savais pas si je devais ...
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