Histoire de famille, d'amitié et d'amour (11)
Datte: 04/06/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: philippe-coquin, Source: Xstory
Résumé : au carnaval du village où habite Joanne, en pleine nuit, la famille a baisé dans la rue (voir chapitre précédent). Nous avons tous aimé et nous avons eu envie de le refaire ailleurs. C’est au carnaval de Bayonne que nous décidons de remettre ça.
Samedi – 22h30
Comme nous l’avions prévu, nous allons au carnaval de Bayonne, en portant les mêmes déguisements que le week-end dernier. Joanne en dominatrice, avec son corset en satin noir, orné de clous dorés sur la poitrine, son pantalon en simili cuir noir moulant, qui fait deviner la forme de ses lèvres et son fouet. Laure s’est déguisée en hippie, avec le bandeau multicolore autour de la tête, une robe, elle aussi multicolore, qui lui arrive en dessous des genoux, et les bottes avec des franges. Marie-Hélène et moi toujours en fantôme, un drap et deux trous pour les yeux.
Laure, Marie-Hélène et moi passons chercher Joanne chez elle, et partons à Bayonne. Après nous être garés, nous arrivons dans la fête. Il y a énormément de monde.
— Ça m’excite déjà de savoir qu’on va baiser dans les fêtes, dit Laure.
— Moi pareil ! répond Joanne.
— Les filles c’est vous qui m’excitez, de savoir que vous n’avez pas de culotte, leur dis-je.
En disant ça, et étant entre les deux, je passe ma main sous leur jupe, pour leur caresser les fesses.
— Et voilà, tu me fais mouiller, dit Joanne.
— Il t’en faut peu pour mouiller lui répond Marie-Hélène en rigolant.
— Ne me dis pas que tu ne mouilles pas ! lui répond ...
... Joanne.
— Bon, c’est vrai que moi aussi je mouille.
Nous rigolons tous.
— Ça me tarde vraiment trop de commencer, dit Laure.
— Si on peut faire quelque chose, répond Laure. Car moi, je n’ai pas trop envie d’insister si c’est vraiment trop chaud, et je n’ai pas envie de passer la nuit à chercher un endroit discret où l’on ne risquerait rien.
— T’as raison, lui dit Marie-Hélène. Si on ne trouve pas, je vous propose d’aller au phare de Biarritz.
— Mais c’est que des homos là-bas, s’exclame Joanne.
— Il y a aussi des bis, lui dis-je., Mais on pourra au moins le faire sans se cacher, car certains aiment mater. Et si on dit qu’il n’y a pas moyen de participer, ils sont respectueux.
Nous voilà à chercher un endroit. Ce n’est vraiment pas facile, car il y a du monde partout. Dans la foule, nous nous donnons la main. Nous sommes heureux de pouvoir le faire au milieu de la foule, sans que ça ne soit bizarre. Etant entre moi et Marie-Hélène, Laure et Joanne, de temps en temps, sentent une main leur caresser les fesses. Elles savent que c’est quelqu’un de la famille.
Tout à coup, je vois une fille déguisée en abeille, que je connais et que je n’avais pas vue depuis longtemps. Elle porte une jupe jaune qui lui arrive aux genoux, un haut jaune rayé de noir, à manches courtes noires, et des ailes attachées dans le dos. Je m’approche d’elle et lui tape sur l’épaule. Elle se retourne.
— Salut, on se connaît ? me dit-elle.
— Oui, lui répondis-je.
— Philippe, ...