1. Les deux soeurs (2)


    Datte: 03/06/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... d'érection et Agnès se saisit de sa queue pendant qu'il la déshabillait. Pendant ce temps, Fabienne, qui s'était dénoué les cheveux, la caressait, et Agnès comprit qu'elle allait découvrir le plaisir saphique. Elle se laissa entrainer vers le lit. Tandis que Charles lui pétrissait les seins avec un appétit manifeste (ceux de sa femme étaient beaucoup plus petits), celle-ci s'insinuait entre les cuisses dodues de leur invitée et commençait un cunnilingus. Agnès fut tout de suite charmée par l'habileté de la langue de Fabienne. Avec une science d'experte, la quinquagénaire savait où se nichait sa sensibilité et donc son plaisir. Elle s'abandonna à cette langue tandis qu'elle avalait celle de Charles tout en continuant à le branler. Il était maintenant d'une raideur considérable et visiblement impatient de la pénétrer. Mais Fabienne occupait le terrain et n'entendait pas le lâcher.
    
    Finalement, Charles se dégagea pour coiffer un préservatif et pria sa femme de lui laisser le chambre libre. Chauffée par Fabienne, Agnès accueillit le pénis avec jubilation et se manifesta par quelques mots crus dont elle se surprit elle-même. Encensé pour la raideur de sa bite, l'homme survolté la percuta avec allégresse, faisant trembler les seins lourds de sa partenaire, ce dont il se délecta en pétrissant ses hanches rondes. Mais Fabienne, loin de rester passive, se positionna sur le visage d'Agnès, face à son mari, si bien que la plantureuse documentaliste prodigua un cunni qui était le ...
    ... premier de sa vie. Elle trouva bon goût à la vulve et découvrit à quel point un organe féminin surexcité peut produire autant de jus. Elle-même produisait de la cyprine en abondance et l'homme clapotait en elle tout en léchant les lèvres et les pointes de seins de son épouse. Puis Fabienne imposa une variante : pendant qu'Agnès la lècherait à genoux, Charles la prendrait en levrette. Or, Agnès, on l'a déjà vu précédemment, prisait particulièrement le fait d'être besognée par derrière et pour la deuxième fois de la journée, elle connut un violent orgasme en tortillant des hanches. Essoré, Charles gicla dans sa capote en gémissant et Fabienne se termina en se masturbant frénétiquement. C'en était fini de ce coït à trois que les protagonistes jugèrent tous parfaitement réussi. Après un dernier verre, Charles ramena Agnès chez elle au milieu de la nuit sans qu'il fût question de retrouvailles.
    
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    Sandrine l'attendait, morte d'inquiétude :
    
    - Mais où donc étais-tu passée ? Je me suis fait un sang d'encre.
    
    Agnès lui raconta sa rencontre sans omettre ce qu'elle appela "une partie de cul à trois". Une fois de plus, Sandrine fut stupéfiée par sa demi-soeur :
    
    - Eh bien, on peut dire que je n'ai plus rien à t'apprendre. Et tu as appris drôlement vite. Je me demande si tu étais vraiment celle que je supposais.
    
    - Mais si. Sauf que c'était dans ma tête. J'étais pleine de fantasmes et grâce à toi, je les ai réalisés. Merci soeurette !
    
    - De rien. Mais tu m'as mis dans ...
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