L'explorateur de plaisir
Datte: 03/06/2021,
Catégories:
fh,
inconnu,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
préservati,
Auteur: Everly, Source: Revebebe
... présent son petit cul sous les yeux, et je dois avouer que ce spectacle m’aguicha terriblement.
Ainsi que je l’avais fait quelques jours plutôt, je commençai mon traitement en travaillant le dos, la nuque et les épaules, d’abord en imprimant bien la paume des mains sur la chair. J’étais assis à côté d’Annie et avais eu pendant un moment cette tentation puérile d’aller me rincer l’œil des trésors que ses cuisses ne pouvaient pas cacher complètement, un peu comme un gamin qui essaye de découvrir ce qu’il y a sous la jupe des filles, sachant que la pudeur et la crainte du jugement leur interdiraient de le lui montrer.
Cependant je me ravisai et, comme un gourmet qui conserve le meilleur pour la fin, je ne me hâtai guère pour me placer derrière ses fesses, et préférai attaquer en douceur, tout en douceur…
Je promenais donc mes doigts agiles en subtiles caresses, explorant les moindres parcelles de peau, déployant toute ma sensibilité pour dénicher les endroits sensibles, m’en éloignant pour mieux y revenir dans le but de créer des tensions, d’électriser le corps d’Annie comme pour le diriger vers une supplication érotique.
Je le sentis vibrer à certaines caresses, onduler et se contracter comme pour résister à l’excitation.
Par moment, sous leurs effets, Annie prenait de fortes inspirations, frissonnait.
Lorsque je la sentis prête à se laisser aller à des émotions plus profondes, je pris en main son fessier. Me déplaçant derrière ses hanches, j’enduisis ...
... d’huile son joli petit cul et me mis en tâche de le pétrir. Lorsque j’enserrais entre mes doigts l’une des fesses, je pouvais apercevoir son petit minou lisse, une jolie fente de laquelle effleuraient deux fines lèvres roses que j’avais envie de sucer.
Annie se laissait faire. Je passai du temps aussi à lui palper les cuisses et les mollets que je manipulais à ma guise, m’octroyant la joie de les lui faire écarter, afin de profiter du spectacle de sa vulve comme bon me semblait. Elle se prêtait à ce jeu avec complaisance, sans doute aussi pour faire monter mon excitation au plus haut.
Je bandais, et ma queue réclamait son petit cul.
Je promenai ma main de ses doigts de pied jusqu’à ses épaules en frôlant sa vulve et le pourtour de ses seins.
Je repris son petit cul entre mes mains, glissant une phalange dans la raie depuis la faille jusqu’à son œillet brun. Elle eut un mouvement de sursaut. Je pris quelques centimètres de distance avant de redescendre doucement vers cette zone hautement érogène. Annie eut une inspiration qui traduisait son plaisir. Mon doigt poursuivit son action stimulante, ondulant autour de l’étroit orifice, s’activant à en obtenir l’ouverture, la décontraction. En moins d’une minute, il put pénétrer, ressentir l’action des muscles constricteurs sous l’effet de la caresse.
Dès lors, ma main libre se lança à l’exploration du sillon d’Annie, cherchant à repérer avec l’index le clitoris qu’elle avait menu, tandis que le pouce s’enfonçait dans son ...