1. Essai saphique : mon attirance pour Nanou


    Datte: 03/06/2021, Catégories: Lesbienne Masturbation Hardcore, Auteur: Jeannot94, Source: xHamster

    ... la joue. Elle glisse entre mes cuisses, appuyant peut être un peu plus sur le fin tissu qui sépare ses doigts de ma fente que je sens dégoulinante de plaisir et d’envie.
    
    Son visage s’approche du mien et une fois de plus nous partageons un délicieux baiser, nous mordant légèrement les lèvres, fouillant notre palais en faisant tourner nos langues dans une danse frénétique et savoureuse. Nos corps se sont rapprochés et ses seins frôlent les miens. Je me redresse, je me tends vers cette femme, afin que nos mamelons se frottent avec forces et vigueur. Je sens ses tétons dressés, durs et fiers rouler sur ma poitrine comme elle doit sentir les miens, prêts à exploser de bonheur.
    
    Sa bouche une fois de plus quitte la mienne et descend, descend toujours. Elle glisse jusqu'à se retrouver à genoux entre mes cuisses. Je suis vaincue et me laisse guider par cette experte du plaisir.
    
    Sa langue coure et frétille sur l’intérieur de mes cuisses me provoquant des sensations encore inconnues de mon corps.
    
    Un doigt malin écarte le petit triangle de mon string et sa langue chaude touche directement mon clito gonflé. C’est comme une décharge électrique, un feu d’artifice. Mes mains agrippent sa chevelure et poussent son visage vers mon intimité. Je ne me sens plus moi-même. Je ne me sens plus femme ou être humain. Je ne suis que bonheur pur et plaisir intense. Je voudrais en mourir.
    
    « Ho oui ! Nanou ! Continue, je t’en supplie, continue ! »
    
    Ce matin en me levant, j’étais à ...
    ... cent lieux de penser prononcer cette phrase.
    
    Mes yeux mi clos, observent malgré tout mon bassin qui ondule vers la bouche gourmande. Elle me fouille avec application, et savoir faire.
    
    Je me laisse glisser sur le cuir jusqu'à la renverser au sol et m’asseoir sur sa bouche. Mon corps est cambré et je pétris mes seins comme une folle, tête en arrière en poussant des râles de plaisirs.
    
    Mais cela ne me suffit plus, je veux donner aussi. Alors plus vite que de le dire, je me retourne et plonge moi aussi entre ses cuisse, sous sa petite jupe noire, qu’elle porte toujours.
    
    La belle ! Elle n’avait pas mentit et ne porte rien.
    
    J’écarte ses grandes lèvres de mes doigts. Je vois son intimité humide palpiter aux grès de mes caresses. Je plonge mon visage et tombe très vite en extase en dégustant ce doux nectar féminin.
    
    Nous nous engageons dans un soixante neuf, nous frottons nos corps, nos mains courent, fouillent. C’est ainsi que je ne me suis aperçue qu’après plusieurs minutes qu’elle fouillait mon petit trou de son index.
    
    Nous roulons, nous nous cambrons encore et finalement elle se retrouve sur moi, en m’embrassant et en frottant sa vulve dégoulinante contre la mienne.
    
    Mon cœur bat la chamade comme jamais. Je suis bien, heureuse, libérée d’un poids. En aucun cas je ne me sens fautive en quoi que se soit.
    
    Une pause s’impose après ce démarrage en trombe.
    
    Je transpire, j’ai très chaud. Je pense que le stress du début sort et dégouline de tous les pores de ma ...
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