Le Store
Datte: 02/06/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Voyeur / Exhib / Nudisme
Anal
Auteur: Natass55, Source: xHamster
... pas nécessaire de perdre plus de temps. 13h10 me voici rentrée et pas de José. Je monte me changer, le plus simplement du monde, culotte short t-shirt et petit soutif.
14h45, la camionnette arrive et José fait le tour, je l’observe guetter mon petit coin de repos, et non je ne suis pas là. Il est tout seul. J’ouvre la porte et lui signale que je suis là.
« Ah bonjour Madame, je ne vous avais pas vu » ben oui mon con joli, pas deux fois.
« Vous pouvez commencer, de quoi avez-vous besoin ? »
« D’électricité comme hier, puis de couper le disjoncteur quand je vous solliciterai »
« Bien, je suis à l’intérieur »
Je m’affaire en entendant différents sons de divers travaux. En prenant mon short d’hier, je vois ces traces blanches et le démon arrive, à 300 kilomètres par heure dans ma tête. J’ai envie. Me voici nue au milieu de la buanderie. Une robe qui est au sale se retrouve sur mes épaules, uniquement cette robe. Ma chatte commence à s’épancher. Mes tétons sont durs. Je m’affaire. La lessive est prête mais je ne mets pas en route car je vais devoir basculer le disjoncteur.
16h15 environ. « Vous pouvez couper Madame » entends-je crier.
« Venez me montrer »
Alors je fais entrer José. Le tableau électrique est dans le garage, et il me montre le bouton à basculer. Dans le même temps, je lui propose un rafraîchissement qu’il accepte bien volontiers.
Je prends une bière fraîche et un soft et nous sortons sur la terrasse. Je lui propose de s’assoir sur un ...
... banc, et j’en fais de même. Mais en l’escaladant, le gros malin n’en a pas perdu une miette, la robe s’est levée, laissant entrevoir ma minette. Je n’ai pas rougi, ce qui est exceptionnel ! Lui non plus étrangement. Il me fixe. Et j’en fais de même, la conversation n’existe pas. Puis il se lève, s’approche de moi, ouvre son pantalon et me présente une bite flasque et trapue. Je suis toute à lui. Elle pue un peu l’urine, mais je la veux. Le cinquantenaire est bien campé. Je le gobe, et elle grossit.
« Déjà hier tu nous allumais salope, tu aimes la bite, ça se voit… »
Mes yeux se lèvent vers lui, ma bouche est difforme, j’acquiesce. Et je le pompe. Quel beau chibre. Puis en quelques minutes, je sens des soubresauts, puis il appuie ma tête sur sa bite et je sens la chaleur au fond de ma gorge. Il me tient comme ceci quelques instants. J’avale, les yeux révulsés, et je tousse, du sperme sort par mon nez. Ça pique.
Je le regarde. « Déjà ? »
« Salope ! tu en veux encore ? »
« Nous venons de commencer il me semble »
Que sais-je ? Je ne sais pas, mais un peu de bestialité, une autre bite, un beau morceau, me font du bien… Arnaud ne va pas tarder, il est 16h30.
José se rhabille comme gêné.
« Je suis marié… » dit-il.
« Et alors, ce n’est pas moi qui sort ma bite comme cela » rétorquais-je !
« Pour sûr non, mais vous trimbaler comme ça devant des mâles c’est dérangeant »
« Dérangeant ? qui matte ? »
Il bredouille je ne sais quoi, je me lève et m’essuie. ...