1. Ashley - 2 Atlanta.


    Datte: 14/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Mia-michael, Source: Hds

    ... rien payer, simplement parce que je lui ai montré mes nichons. J’aurais dû essayer avec la caissière de l’aquarium ! Le chauffeur me demande :
    
    — Tu viens de la campagne ?
    
    — Oui de Notasulga. Ça s’entend ?
    
    Il rigole avant de répondre :
    
    — Ouais, mais c’est mignon.
    
    La course ne dure pas longtemps, il s’arrête en face d’un établissement qui ne joue pas dans la discrétion. Il y a du néon, des photos de filles et il s’appelle "House of pussies." (La maison des chattes). Le chauffeur me dit :
    
    — C’est ici. On est Ponce de Leon avenue, retiens-le.
    
    — Oui, merci monsieur.
    
    — Tu seras sûrement engagée. Je viendrai te voir.
    
    — Avec plaisir.
    
    Surtout s’il me met des billets dans mon string...
    
    — Allez, bonne chance petite.
    
    — Merci pour tout... à bientôt.
    
    Sur la façade de la boîte, il est indiqué "Des filles dansent pour vous toute la nuit." C’est fermé, mais il y a de la lumière et je vois un écriteau : "De 20 h à 4 h du matin". Merde, il est 19 h. Je frappe à la porte. Un jeune homme arrive et, derrière la vitre, il tape du doigt sur sa montre. En langage des signes, ça veut dire "Reviens plus tard, ce n’est pas encore ouvert, belle étrangère." Alors je fais ce qui a marché avec le chauffeur de taxi : je lève mon tee-shirt et je secoue un peu mes nénés en levant mes bras au-dessus de la tête. En clair : "Je viens me présenter comme danseuse, beau jeune homme.".
    
    Ça marche ici aussi ! Il ouvre la porte en disant :
    
    — Tu veux te présenter pour ...
    ... danser ?
    
    — Oui, M’sieur.
    
    — Moi c’est Johnny. Tu peux attendre les patrons ici, mais tu m’aides.
    
    — D’accord, merci.
    
    Après être entrée, je lui dis :
    
    — Vous croyez qu’ils m’engageront ?
    
    — Retourne-toi.
    
    Je lui montre mes fesses, il dit :
    
    — Ce serait une grosse connerie de ne pas le faire.
    
    J’adore Atlanta ! À l’intérieur, c’est très tape-à-l’œil, mais ça me plaît. Il y a pas mal de tables, certaines avec une barre au milieu. Johnny m’explique que c’est pour le pool dance, les filles qui se tortillent en se tenant à ces barres. Il y a aussi une assez grande scène et plusieurs petites.
    
    Il me dit ce que je dois faire, mettre les chaises autour des tables, puis des menus de boissons. On parle. C’est un étudiant qui travaille ici pendant les week-ends. Je lui demande :
    
    — C’est aussi toi qui nettoies ?
    
    — Pour le moment, oui, mais à la prochaine vente, ils vont acheter deux esclaves pour le sale boulot.
    
    Ouch ! Mon bas-ventre se crispe. J’imagine qu’une esclave ne nettoie pas bien une toilette. Sa patronne lui frotte le nez sur une tache qu’elle a laissée, puis la fouette. Je sors de ma rêverie car un couple entre dans le bar : un homme d’une cinquantaine d’années, grand, costaud, noir de cheveux avec une petite moustache, accompagné par une nana qui pourrait être sa petite fille. Jolie, certes, mais pas sympa non plus. Elle dit à Johnny :
    
    — On ne te paye pas pour faire venir tes petites amies !
    
    Je réponds vite avant lui :
    
    — C’est ma faute ...