1. COLLECTION ANNE MA MUSE. Février sur la côte (2/13)


    Datte: 02/06/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... !
    
    Gaston est réveillé, le moteur du camion tourne, nous pouvons reprendre la route, Montélimar restera un joli fantasme, à mon retour dans ma froide vallée du Doubs.
    
    - Tu t’es changé je vois !
    
    J’ai simplement enlevé ma chemise.
    
    Ça je le vois, Gaston est en marcel, me montrant les touffes de poils longs sous ses bras de déménageur.
    
    Contrairement à l’arrêt, aucune velléité d’essayer de me mettre la main au panier.
    
    Simplement un regard sur ma culotte quand je me hisse dans la cabine.
    
    C'est sûr j’ai enlevé mon pantalon pour une minijupe sans penser que la cabine est haute.
    
    Le ruban continue à défiler, nous avons devant nous un camion ukrainien, ce matin, c’était un Espagnol que nous avons suivi de Lyon à Montélimar.
    
    Mes paupières se font lourdes.
    
    Je m'assoupis et je dors.
    
    Cinq minutes ?
    
    Trente minutes ?
    
    Je l’ignore, je dors.
    
    Je suis bien au soleil dans ce camion, et dans mon sommeil, bizarrement je sens ma main posée sur une forme dure.
    
    C’est drôle, ma main passe librement entre ce sexe et le volant, alors que tout à l’heure, je voyais le ventre de Gaston le toucher.
    
    Mon chauffeur a changé, c’est Joël qui conduit.
    
    Pourquoi chercher ce qui a permis le changement de chauffeur, on verra ça plus tard, pour le moment je ne comprends rien ?
    
    Il y a peu, j'avais du regret de voir partir ce jeune garçon, maintenant c’est le moment d’en profiter.
    
    Tiens, il était en jean et là, il porte un pantalon de survêtement.
    
    Le même que porte ...
    ... Gaston avec son marcel quand il conduit.
    
    Même tête, même marcel, une musculature aussi massive pour l’un ou pour l’autre mais muscles plus fermes pour celui qui conduit en ce moment.
    
    L’un conduit, l’autre doit être dans la couchette alors pourquoi hésiter.
    
    J’écarte le devant de ce qui me sépare de mon but.
    
    La verge de ce jeune homme apparaît.
    
    Très bien, pas de sous-vêtement entravant cette verge très tendue.
    
    Je passe ma main libre sous ma jupe, je suis trempée, certainement la chaleur qui me mouille de sueur.
    
    Je me caresse, c’est un peu gluant, loin des gouttes de sueur que je tamponnais à la terrasse du restoroute tout à l’heure avec mon mouchoir en papier.
    
    Je redouble avec mon autre main sur la verge qui m’est proposée ?
    
    Elle est un peu riquiqui pour un jeune homme, mince, je regarde le chauffeur, Gaston a repris le volant.
    
    Encore bizarres, le ventre et le volant me permettent de descendre ma tête jusqu’à elle.
    
    À mesure que ma bouche avance, elle vient à ma rencontre, comment ce phénomène peut se produire ?
    
    Finies les questions, elle entre dans ma bouche et je me pâme.
    
    Masturbation, fellation à part cette sensation étrange de flotter dans l’air mon corps ayant fini de m’appartenir, je suis bien, même très bien.
    
    Mes vacances commencent divinement.
    
    Le soleil, bientôt la mer, et une queue bien rigide que je pompe sans plus me poser de questions.
    
    « Oui. »
    
    Mon portable sonne.
    
    Je relève la tête, la bite décharge et me noie de ...