Escapade sénégalaise
Datte: 01/06/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Clar, Source: Hds
... s’assoir entre les deux françaises. « ça va patronnes ? « « Amadou, reste tranquille, il y a du monde autour de nous » Le jeune sénégalais posa sa main sur la cuisse des deux amies. Caroline sursauta et chassa la main de l’intrus. Clotilde se laissait faire. La main était légère et ne bougeait pas. Amadou reposa sa main sur la cuisse de Caroline qui de nouveau la chassa. Amadou semblait contrarié. Clotilde tourna la tête vers lui et lui sourit. « moi je veux bien » chuchota-t-elle. Amadou, rassuré, remonta la main sur la cuisse en une caresse douce, il retroussa doucement la jupe saharienne, continuant son chemin vers l’entrejambe. Ses doigts atteignirent la vulve qu’aucun tissu ne protégeait. Sentir cette belle femelle à sa portée le faisait bander. Profitant de la semi-obscurité, Clotilde passa sa main sur le devant du short et y sentit la dureté d’un sexe érigé. Amadou se souleva discrètement et fit glisser le short, libérant son spectre dressé et dur que l’infirmière entoura de ses doigts. Amadou poussa un soupir qui attira l’attention de Caroline. Tournant la tête vers le couple, elle découvrit son amie, jupe retroussée, jambes écartées, caressée par la main noire, dont un doigt disparaissait dans la fente, et le jeune noir, sexe à l’air, masturbé par la main blanche. A la vue de ce spectacle, caroline sentit son sexe s’humidifier. Elle croisa le regard fiévreux du jeune noir. Prenant ce regard pour une invitation, il envoya une nouvelle fois sa main sur la cuisse de ...
... Caroline. La jeune femme ne dit rien. Les doigts remontèrent sous la jupe ; jusqu’à la dentelle du tanga. Caroline, troublée, et inquiète de la tournure des événements, bloqua le poignet du noir. Les doigts continuèrent de frotter le sexe féminin à travers le vêtement. Caroline haletait doucement, elle sentait le plaisir monter et sa vulve s’humidifier. « Venez, on va plus loin » proposa le noir. Ils se levèrent et, restant sur la plage, s’éloignèrent. Amadou marchait entre les deux femmes, les tenant par la taille, ses mains s’égarant régulièrement vers les rondeurs fessières. Ils marchèrent pendant une dizaine de minutes. Ils s’arrêtèrent à proximité de palmiers. Clotilde attrapa le short de l’africain et le tira vers le bas. Le sexe se dressait, dégageant un gland proéminent. Elle fit pivoter Amadou vers Caroline. A ce moment elle entendit un bruit. Une ombre se faufila jusqu’au groupe. « N’ayez pas peur, c’est Ayité mon cousin » leur dit Amadou. Ayté était plus grand qu’Amadou. Plus grand et plus musclé, plus massif. Clotilde tourna la tête vers Amadou. Celui-ci embrassait Caroline à pleine bouche, envoyant son ventre dénudé vers la française. Deux mains gigantesques se posèrent sur les épaules de Clotilde et l’attirèrent vers Ayité. Elle posa ses lèvres sur le torse nu du noir, s’enivrant de sa douceur et de l’odeur poivrée. Sa bouche vint se poser sur le mamelon qu’elle agaça de la langue. Elle sentit le noir tressaillir. Les deux mains quittèrent les épaules, descendirent ...