Apaisements variés
Datte: 01/06/2021,
Catégories:
fh,
ff,
fffh,
fagée,
alliance,
copains,
Oral
délire,
Humour
fantastiqu,
fantastiq,
Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe
... Je rêve !
Je me tournai de nouveau vers Aurélie ; le regard qu’elle braquait toujours vers Azura perdait peu à peu de sa froideur, ses traits se détendaient, elle commençait même à lui sourire.
— Qu’est-ce que tu lui as fait ? Encore ton sort d’apaisement ? Celui qui marche pas ?
— Oui.
Azura était mal à l’aise et semblait ne pas trop savoir comment réagir. Aurélie lui souriait toujours plus, d’un visage maintenant très nettement amical.
— Dis donc, Bazouk, on n’avait pas dit que tu…
Je n’eus pas le temps de finir ma phrase. Aurélie venait de se précipiter sur Azura pour l’embrasser à pleine bouche ; et malgré la résistance dont cette dernière faisait pourtant instinctivement preuve, elle la poussa jusqu’au mur du couloir, lui arracha son sac de fringues qu’elle balança à travers le corridor, et saisit ses seins à pleines mains en se frottant à elle de manière suggestive sans cesser de l’embrasser.
Pandore se marrait gaiement. Je lançai un regard mauvais à Bazouk.
— Euh… fit-il simplement.
— C’est maintenant qu’elle est en danger… lâchai-je en reportant mon attention sur les deux jeunes femmes.
Azura parvint un instant à déscotcher sa bouche de celle, inquisitrice, d’Aurélie et, faisant des efforts pour ne pas se la faire reprendre, me bafouilla :
— Mon Gu… fti adoré… que dois-je faire ?
Je haussai les épaules, mi-dépité mi-amusé. Mais Aurélie lui répondit d’une voix sensuelle :
— Aime-moi comme je t’aime ! Désire-moi comme je te désire ! ...
... Je te promets un plaisir sans limite…
Pandore éclata encore de rire en commençant de ramasser les fringues éparpillées. Moi, ça commençait à me plaire… J’adressai un clin d’œil à Azura, m’approchai des deux jeunes femmes toujours enlacées et leur roulai chacune une grosse pelle avant de déclarer avec emphase :
— Azura, je te présente Aurélie… Aurélie, voici Azura… Vous êtes faites pour vous entendre !
Elles s’embrassèrent à nouveau, mais cette fois, Azura se laissa faire ; non, mieux d’ailleurs, elle participait activement à leurs baisers. Elle referma ses mains sur les joues d’Aurélie ; celle-ci glissa les siennes sous le vêtement qui moulait la poitrine très généreuse de sa nouvelle meilleure copine. Je me retournai vers Bazouk pour le féliciter finalement :
— Bon, je retire ce que j’ai dit ; pour l’instant, ça me convient…
Il se mit quasiment à clignoter et m’afficha un copieux sourire. Mais la voix de la mère d’Aurélie s’éleva soudain presque au moment où elle apparut dans l’encadrement de la porte de l’appartement toujours ouverte :
— Ma chérie, qui était-ce ?
Puis, lorsqu’en un éclair elle aperçut tout à la fois sa fille enlacée avec Azura qu’elle pelotait avec ferveur, et Pandore, Bazouk et moi, qui la regardions avec allégresse, sa voix se fit hargneuse :
— Shank ! J’aurais dû me douter que c’était vous !
— Que la paix soit avec toi ! lui beugla Bazouk en ouvrant ses bras en signe de conciliation.
— Ah non ! hurlai-je à mon génie.
Mais la ...