Une descente aux enfers (1) - Histoires de Sexe

Une descente aux enfers (1)

... ai pas envie ?

— Qui te parle d’envie, un mec quand il a envie de sa gonzesse il la prend c’est tout, chez nous c’est comme ça.

— Oui, mais moi je ne fais pas partie, comment dire, de votre communauté.

— On te demande pas d’en faire partie, Momo il se mariera jamais avec toi si ça peut te rassurer, il ira pas chercher une Française pour se marier, vous sortez ensemble et ça s’arrête là, mais en attendant tu dois suivre nos règles.

— Quelles règles ?

— C’est simple maintenant que tu es sa meuf, tu dois plus regarder un autre garçon, ton mec c’est Momo, c’est tout, si un autre mec te parle, tu dois pas lui répondre.

— Ah bon ?

— Bien sûr puisque tu es sa meuf.

— Ah...

— Ensuite tu lui dis jamais non, tu passes de l’autorité de tes parents à son autorité. Excuse-moi je vais être vulgaire, s’il a envie de se vider les couilles, tu lui vides.

— D’un coup le visage de Justine était devenu pourpre, Aïcha avait souri.

— T’as compris ?

— Justine ne répondit pas.

Le lendemain soir à la sortie du lycée Momo lui demanda de le suivre, arrivés devant leur immeuble ils se dirigèrent vers les caves, elle était anxieuse.

— Où va-t-on ?

— T’inquiète, viens.

Arrivés au bout d’un couloir sombre il poussa la porte en bois d’une cave.

— C’est la nôtre, on sera plus tranquilles.

Il avait installé un matelas à même le sol sur lequel il avait au moins pris le soin de poser un drap propre. Sans répondre aux questions qu’elle ne lui avait pas ...

... encore posées il la prit par la taille, la serra vers lui et lui fourra à nouveau sa langue dans la bouche, elle était fébrile, livide, elle se sentait glisser dans une pente tragique mais n’avait pas la force de résister, en avait-elle envie au moins ? Mais elle avait décidé de faire confiance à son petit ami, son «mec» comme il fallait qu’elle dise... Il fut plus tendre, déboutonna son chemisier sans décoller ses lèvres des siennes, lui caressa les seins délicatement faisant passer ses doigts sur ses beaux galbes puis il se baissa et l’invita à s’allonger près de lui, là il la déshabilla complètement, sa petite chatte peu velue offrait l’apparence d’un abricot, un abricot délicieux prêt à être cueilli. Sans lui demander la réciproque il glissa ses lèvres le long de ce corps fin et racé, il respira la touffe de son pubis puis introduisit sa langue sur son bouton d’amour il la fit circuler dessus et autour, elle poussa des petits râles, son sexe devenait humide, il passa son avant-bras derrière son genou afin de lui écarter les jambes puis présenta son sexe sur la fente soyeuse, il le tourna de la main afin d’écarter ses lèvres encore serrées, elle était emportée par une vague de chaleur, elle qui n’avait jamais bu d’alcool se sentait comme ivre, le sang de ses tempes battait fort, elle se laissait aller pétrifiée de désirs et de craintes. Ça allait arriver, elle allait passer du stade de jeune fille à celui de femme, il allait la dévirginiser, cette chose à laquelle elle avait ...