Salope de belle-fille (6)
Datte: 14/05/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory
SALOPE DE BELLE-FILLE.Chapitre 6 : Jour de mariage. Obligé de niquer la mariée et sa mère.
— Qu’est-ce qui t’arrive ? Qu’est-ce que tu as à remuer comme ça ?
Je fais semblant de n’avoir rien entendu et me rendors dans les bras de Morphée, fier du devoir accompli.
C’est le grand jour. Je suis honteux de ce que j’ai fait cette nuit. Je suis un vrai salaud envers mon fils.
Jade est ravissante en robe blanche, elle est divinement belle. Le blanc, couleur de pureté et de chasteté ???!!!
Je félicite ses parents d’avoir une si belle fille. S’ils savaient la salope qu’ils ont engendrée !!!
On en est au repas de mariage entrecoupé de quelques danses. Je m’occupe de la belle-mère, Sylvie. La lumière sur la piste de danse est tamisée, mais à la troisième danse que je fais avec elle, il se passe quelque chose d’irréel. Elle me susurre à l’oreille :
— Patrick, j’ai trop envie de vous. Je vous ai surpris l’autre soir dans le couloir. Je sais que ma fille est une vraie salope, mais moi aussi. Si vous ne voulez pas que je fasse un scandale, baisez-moi !
Putain !!! Telle fille, telle mère ! Il faut dire que malgré son âge, elle est drôlement bien fichue, la daronne. Et un coup de queue vite fait, ça ne se refuse pas.
La seule façon de retrouver un peu d’intimité, c’est la bagnole. Un petit tour sur le parking, la banquette arrière, pas très confortable, mais on n’est pas là pour dormir.
Pas le temps de longs préparatifs, je retrousse sa longue robe, ne prends ...
... même pas le temps de lui retirer sa culotte pour lui dévorer la chatte d’une bouche gourmande. Ce n’est pas très confortable pour elle, un pied sur le dossier conducteur, l’autre sur celui de la banquette arrière, ma bouche fait merveille entre ses cuisses écartées et c’est parti pour l’emmener au septième ciel ! Mes mains doivent souvent redresser son bassin qui ne cesse de glisser, mais je laisse mes doigts s’égarer vers son petit anus et comme par accident, je le pénètre d’une phalange hardie... Oups ! Oh pardon Madame !
Aussi chaude que sa fille ! Elle pousse déjà un cri rauque, faisant saillir sa croupe et étanche ma soif d’une cyprine abondante. Heureusement que ça ne tache pas trop ! Son corps ondule comme un serpent, s’ouvrant ainsi davantage à mes caresses.
Je continue de préparer le chemin (les ?). J’alèse de mes doigts, elle est comme folle et jouit encore. C’est une vraie fontaine, cette poufiasse ! Elle ne sait plus où elle en est, je fais sortir Popaul qui commence à remuer dans les brancards à l’étroit dans mon pantalon, ma queue se glisse dans cet antre à l’humidité tropicale et je la baise gaillardement.
— Oh Patrick ! Que vous êtes gros ! Quelle queue vous avez !!!
Mon pouce accompagne le pistonnage dans son petit trou. Comme je n’ai pas toute la nuit, un léger dérapage contrôlé et mon gland s’égare contre sa pastille. Je pousse, pour faciliter l’intromission, elle écarte les fesses de ses mains et la tête de mon nœud disparaît dans ce boyau étroit. ...