COLLECTION LESBIENNES. Pour échapper à mon patron (1/3)
Datte: 31/05/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
• Monsieur Damien, je vois que vous êtes très prévenant avec moi, j’aimerais vous donner satisfaction comme je pense vous en donner dans mon travail de tous les jours.
Vous comprenez que je doive refuser de partir en week-end à l’insu de votre femme.
• Que voulez-vous dire Maryse !
• Je sais que vous voudriez que j’aie des rapports avec vous, mais ma nature profonde m’oblige à vous dire non, je suis lesbienne et je vis avec une amie.
D’ailleurs nous allons nous marier cet été.
• Je comprends, je l’ignorais et il est vrai que j’aime les femmes et qu’il m’arrive de faire quelques petites entorses à mon couple.
Vous savez 18 ans de mariage la routine s’installe entre nous et vous savez à quoi ça même.
• Non monsieur Damien, j’ignore ce que 18 ans de mariage représentent avec la même femme, je vous dirais ça dans 18 ans.
Je suis avec mon amie depuis un an à la suite de ma rupture avec mon ancienne amie qui m’a tout appris et m’a fait découvrir ma vraie nature.
• Excusez, de vous avoir fait comprendre que vous me plaisiez et qu’un week-end en Sologne aurait concrétisé ce penchant que votre beauté m’inspire.
Vous pouvez disposer, tout ceci restera entre nous.
Je prends le chemin de la sortie, tirant sur ma jupe en me relevant, je sais que mon patron regarde mon cul et ça m’échauffe.
Je suis une parfaite hétéro et je sais comment finissent les rapports entre patron et employée.
J’ai vécu cette expérience pendant deux ans avant d’être obligée ...
... de démissionner par la femme de mon patron ayant tout découvert.
« Vous savez 18 ans de mariage »
C’est à peu près ce que m’avait dit Léandre, il s’appelait Léandre quand il m’avait proposé de l’accompagner pendant deux jours en province pour l’aider dans la signature d’un contrat.
Le contrat j’ignore s’il l’a signé mais pendant deux jours je n’ai connu que les restaurants et surtout la chambre mitoyenne à la mienne.
Bizarrement quoi que quand j’y pense, pas plus que ça, les chambres étaient contiguës et possédait une porte de communication lui permettant de me surprendre dans le plus simple appareil prenant mon bain.
J’ignorais que la porte de communication était ouverte, loin de moi l’idée quand je me suis installée de la vérifier, elle était là, point barre.
• Maryse, revenez, j’ai autre chose à vous dire.
Je me retourne sortant des pensées de mon passé loin d’être un passé saphique.
• Une idée m’est venue, je veux faire voir à mes employés que je suis un patron ouvert sur la vie moderne.
De nombreuses boîtes refusent les lesbiennes ou les gays ce qui entre parenthèses est discriminatoire.
Ils vont même jusqu’à les licencier tombant de ce fait sous le coup de la loi.
Ici et tant que je serais à la tête de mon entreprise, les choses seront claires, les penchants sexuels de mon personnel s’arrêtent au moment où vous passez votre badge dans le tourniquet.
• Merci monsieur, je savais que vous aviez l’esprit ouvert.
• Mais.
• Je vois ...