1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1211)


    Datte: 30/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    La Marquise esclave – (suite de l'épisode N°1204) –
    
    La fête D/s en elle-même allait pouvoir commencer… Dehors tout était installé pour un fastueux banquet champêtre, campagnard, gargantuesque, digne des festins de l’époque des rois. Pour l’occasion, Marie, la si précieuse cuisinière du Château était bien secondée car elle avait reçu le concours de chefs cuisiniers, pâtissiers, tous nommés meilleurs ouvriers de France. Des plats qui allaient de préparations très simples à des mets plus élaborées s’étalaient sur de grandes et longues tables couvertes de nappes blanches immaculées sous les ombres des grands marronniers centenaires. Le travail se trouvait autant dans la préparation des divers mets que dans leur présentation. Une palette de différentes charcuteries formait un magnifique paon à la queue trainante. Des canapés de foie gras et figues, tomates basilic, chèvre menthe, agrémentés d’olives, formaient de petites coccinelles se baladant dans une nature verte composée de diverses salades. Des verrines de différentes mousses de fruits et légumes formaient des papillons, les plats représentaient tous la viande dont ils étaient composés, du porc, bœuf, poulets, des poissons… La décoration de la table était faite de mousses végétales, de fleurs, de petites barrières, une véritable campagne fleurie s’étalait sous les yeux émerveillés des Invités. L’apéritif était préparé sur une longue buvette sous chapiteau ouvert sur les côtés. Tous les types d’alcool y étaient présents, ...
    ... ainsi que des boissons non alcoolisés pour ceux qui préféraient. Mais le kir royal au champagne était le plus prisé parmi les convives…
    
    En dehors de ceux qui faisaient le service, tout le Cheptel de Monsieur le Marquis Edouard d’Evans avait reçu l’autorisation de participer à la fête et au festin. Donc sous les marronniers, de grandes tables étaient disposées en cercle, au centre duquel se trouvait la table des mariés et de leurs témoins. Les Dominants étaient assis, évidemment, et de grandes nattes en jonc tressé avaient été installées dans l’herbe pour les soumis, soumises et esclaves. Une centaine d’eux étaient donc en train de partager la joie générale. Pour une fois, ils avaient le droit de se lever pour pouvoir remplir leurs assiettes, et de se tenir assis sur les nattes plutôt qu’en quadrupédie comme habituellement. Chacun avait un numéro. Malgré leur « liberté », ils devaient tout de même se tenir à disposition de ceux qui pourraient les appeler par ce numéro que le hasard leur avait attribué. La seule chose que les Dominants savaient c’était que les femelles avaient les numéros pairs et les mâles ceux impairs. Très souvent l’un d’eux devait interrompre son repas pour l’agrémenter de cyprine, de sperme ou même d’urine pour soulager un Maître ou une Maîtresse.
    
    A la table centrale, le Seigneur et Maître que je vénérais et à qui j’étais désormais liée à jamais de toutes les manières possibles, ainsi que le Commandant des pompiers nous autorisèrent, soumise Keira MDE, ...
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