1. Tatie Solange 01


    Datte: 30/05/2021, Catégories: Mature, Auteur: Fulvia41, Source: xHamster

    ... désaltérer. Collant sa bouche assoiffée contre les lèvres sexuelles gorgées d’un suc abondant, il plongea sa langue dans les replis humides de la vulve, à la recherche de cette source magique.
    
    — Qu’est-ce que tu fais, gémit Nicole, le corps déjà frissonnant d’attente. Tu es fou, si quelqu’un venait, insista-t-elle en tentant mollement de repousser le visage de son entreprenant mari d’entre ses cuisses...
    
    Ne se souciant pas des protestations bien faibles de son épouse, Guillaume appuya un peu plus son sensuel baiser, continuant de fouiller la profonde cavité sexuelle aux parois suintantes, d’une langue souple. Avec gourmandise, il lécha les replis vulvaires copieusement imbibés s’enivrant au goût acre de l’urine, mêlée à celui plus épicé des sécrétions vaginales.
    
    Attentif à procurer du plaisir à son épouse, Guillaume n’en tendait pas moins une oreille circonspecte aux bruits ambiants, craignant d’être surpris par un quelconque randonneur, dans une circonstance peu orthodoxe. Comme il continuait de butiner cette fleur aux effluves grisants, il se rendit compte que la pression des mains de Nicole sur son crâne se faisait plus molle, même si cette dernière continuait de protester d’une voix de moins en moins convaincante.
    
    Bien qu’inquiète à l’idée d’être surprise par un promeneur, Nicole sentait cependant une douce chaleur envahir son bas-ventre. Ne pouvant s’empêcher de jeter des coups d’œil anxieux autour d’elle, le moindre bruit dans les taillis la faisant ...
    ... sursauter, elle s’abandonna cependant aux délices que la langue habile de son époux lui procurait. Bientôt, l’étrange plaisir qu’elle ressentait à être ainsi léchée en pleine nature, à la merci d’un randonneur qui pourrait les surprendre à tout moment, se fit plus sournois dans son corps frémissant. La pensée que son pervers époux allait par ses sensuels baisers, la faire jouir, ainsi, debout au pied de ce chêne centenaire, qui peut-être avait été le témoin de nombreux rapports amoureux au fil des siècles passés, l’affola. Combien de femmes, bourgeoises ou paysannes, s’étaient-elles fait trousser à cet endroit, ne put-elle s’empêcher de songer. A cet endroit même où Guillaume d’une langue habile la menait inexorablement à la jouissance. Dans une ultime tentative de défense, elle essaya de repousser le visage de son diabolique époux d’entre ses cuisses tremblantes et abondamment recouvertes de ses sécrétions vaginales :
    
    — Non, laisse-moi, gémit-elle… Pas ici... Retournons à la voiture.
    
    Sourd aux protestations de sa femme, Guillaume éprouvait un plaisir intense à sentir cette dernière tenter, bien timidement, de l’empêcher de l’amener à l’orgasme qu’il sentait proche. D’une langue exercée, il continua de fouiller la chatte de plus en plus liquide, alors que lui parvenait, assourdi, le bruit des véhicules circulant sur la nationale située à quelques mètres d’eux.
    
    Les mains crochetées dans les rondeurs charnues de la croupe ferme et musclée de son épouse, afin de l’immobiliser, ...
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