1. Deux cadavres et des premiers pas au cinéma


    Datte: 14/05/2018, Catégories: fh, ffh, 2couples, fhhh, Collègues / Travail uniforme, grossexe, grosseins, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, Masturbation Oral fsodo, Humour policier, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... elle était bonne. Elle aussi. Et de la voir s’approcher du bureau où la jeune femme tortillait toujours du popotin pour lui toucher les fesses et palper ses seins fit monter d’un cran supplémentaire la bite du policier.
    
    — Tu as déjà bossé avec Mel ? demanda-t-il néanmoins, s’efforçant de penser d’abord scrupuleusement à son enquête.
    — Ouais, trois ou quatre fois. J’aime bien, Mel. Elle est cool et elle baise bien. Même hors caméras.
    
    Sa voix nasillarde et lente était pénible. Même Elyna Solberg en fut agacée et décida que le mieux était de la faire taire en lui roulant une pelle. Mais Grant, tout impressionné qu’il fût, poursuivit :
    
    — Comment tu t’appelles ?
    — Vaniliya, brama-t-elle lorsque la jeune apprentie enquêtrice lui en laissa l’occasion.
    
    Le nom fut comme une étincelle pour la mémoire du policier : il en était sûr, ce nom figurait au beau milieu d’une dizaine d’autres sur la page arrachée du carnet de Melinda Falken. Alors qu’il y réfléchissait, le truculent Eddie Stampano réapparut. En découvrant les filles qui commençaient à se peloter, il se félicita qu’elles aient déjà fait connaissance. Il invita alors tout ce beau monde à le suivre jusqu’au studio numéro trois, vers lequel, suivi par deux autres types, il poussa dans le couloir un chariot surmonté d’une impressionnante caméra.
    
    ***
    
    Brouwer, assis à son bureau, restait sceptique en parcourant pour la énième fois les dernières pages du petit cahier qu’il avait trouvé caché dans l’appartement de ...
    ... Melinda Falken. La plupart des événements qui y étaient contés, même s’ils parlaient de cul, étaient plutôt anodins : quelques détails sordides sur ses clients d’un soir, ou bien le récit du tournage d’une scène porno, ou encore ses impressions après une soirée au Sang Chaud qui s’était terminée dans les bras d’un type ou parfois de plusieurs. Mais il y avait cette dernière page, qui ne cessait de titiller l’esprit vif et fouille-merde de l’inspecteur.
    
    Melinda y avait griffonné d’une écriture visiblement hâtive ; en quelques lignes, elle expliquait que suite à ce qui s’était passé au studio, elle avait cherché des indices, mais elle avait peur d’avoir été vue. Quel studio ? Quels indices ? En toute logique, le policier se dit qu’il s’agissait certainement des lieux de tournage d’Eden Features, et que les indices pouvaient être ces noms écrits sur la page arrachée du carnet qu’il avait également découverte dans l’appartement de la disparue. Il relut cette liste, essentiellement des noms de femmes, et peut-être même des pseudonymes, sans doute ceux d’actrices pornos. La recherche qu’avait menée sa secrétaire sur les fichiers de renseignements n’avait évidemment rien donné.
    
    Il en était là de ses réflexions lorsque la sonnerie du téléphone le sortit brusquement de sa douce torpeur. Bordel ! Il avait pourtant demandé à ne pas être dérangé ! « Allô ! » aboya-t-il en décrochant le vieux combiné. Il écouta un moment, et ses traits parurent se tirer peu à peu, puis il soupira en ...
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