1. Deux cadavres et des premiers pas au cinéma


    Datte: 14/05/2018, Catégories: fh, ffh, 2couples, fhhh, Collègues / Travail uniforme, grossexe, grosseins, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, Masturbation Oral fsodo, Humour policier, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... du hall et, passant devant Brouwer qui la suivit en regardant ses fesses, se dirigea jusqu’à une construction attenante à la maison, qui semblait être un vaste garage. Elle en ouvrit la grande porte et eut soudain un mouvement de recul.
    
    — Qu’y a-t-il ? demanda l’inspecteur.
    — Je ne sais pas, ça sent mauvais.
    
    Brouwer comprit instantanément.
    
    — Laissez-moi passer, Madame Lane.
    
    Il entra dans le hangar, talonné par la jeune femme alarmée. L’odeur était horrible et lourde, mais pas encore très forte. À l’intérieur du garage étaient rangées, alignées en épi, quatre voitures de luxe et une autre place était vacante. Cherchant d’où provenait la puanteur, Brouwer s’avança jusqu’à une grosse Mercedes noire.
    
    — Vous avez les clefs ?
    — Oui, attendez.
    
    Elle courut jusqu’à la maison. Brouwer eut une moue de dépit :
    
    — Franz Wunkel… Qu’est-ce que t’es venu foutre dans ce coffre ?
    
    La jeune femme revint avec un nouveau trousseau qu’elle tendit à l’inspecteur. Il s’en saisit et s’approcha de l’arrière de la berline.
    
    — Je crois qu’il vaut mieux que vous alliez m’attendre dehors, Mademoiselle.
    — Madame ! Non, je reste.
    — Comme vous voudrez…
    
    Brouwer ouvrit le coffre d’un geste franc, jeta un œil à l’intérieur et détourna impulsivement la tête, écœuré par le spectacle et l’odeur. La femme se mit à hurler et recula en geignant, puis défaillit soudain et s’écroula à côté du policier sans que celui-ci ait eu le temps de la retenir. Il regarda à nouveau et plus ...
    ... précisément ce que contenait le véhicule.
    
    Le corps à l’arrière de la voiture n’était certainement pas celui de Wunkel, mais c’était un cadavre, voilà qui était certain. Un cadavre de plus. Ça commençait à faire beaucoup. Brouwer s’agenouilla à côté de la jeune femme livide.
    
    — Madame Lane !
    
    Soit c’était le corps de Lane, soit ça faisait de ce dernier le suspect numéro un de toute l’enquête.
    
    — Madame Lane !!
    
    Il lui tapota le visage à plusieurs reprises. Elle ne réagit pas. Il la prit avec difficulté dans ses bras et la porta à l’extérieur du garage, puis jusqu’au seuil de la maison. Il entra et poussa une porte derrière laquelle il trouva, au sein d’une immense salle de séjour, un canapé où pouvoir la déposer.
    
    — Madame Lane !!!
    
    Elle entrouvrit un œil et se releva d’une saccade, puis se mit à pleurer en baragouinant quelque chose d’incompréhensible dans une langue que Brouwer estima trop gutturale. Mais il attendit poliment qu’elle eut terminé avant de demander si le corps était bien celui de son mari. Elle le devança, toutefois, achevant finalement d’une voix désespérée :
    
    — C’est le corps de Tom…
    
    Brouwer lui prit doucement la main et lui dit simplement :
    
    — Je suis désolé.
    
    Après un poli silence larmoyant, il reprit :
    
    — Est-ce que je peux utiliser votre téléphone ?
    
    La jeune femme acquiesça vaguement et Brouwer s’empressa d’aller décrocher.
    
    — Allô, Mademoiselle Penelope ? Je suis chez Lane ! Tom Lane a été abattu, probablement au cours de la nuit. ...
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