1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1202)


    Datte: 29/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... forcément arriver) de soulever sa jupe en skaï noir et sexy pour dévoiler un sexe sans culotte et de s’installer sur la bouche de la soumise pour se faire lécher. L’excitation de ma mère grandissait au fur et à mesure que mon père stimulait la soumise. Au bout d’un moment, il baissa son pantalon montrant ainsi une belle érection et sans autre préambule, il pénétra la chatte de la soumise dégoulinante de sa cyprine à grands coups de reins puissants. Il la prenait bestialement en de vifs va-et-vient qui durèrent de longues minutes. Puis mon père échangea avec ma mère pour que la bouche de la chienne, comme l’appelait mon père, lui serve de vide-couilles. Il lui enfonça sans préparatif sa grosse queue dure et lui baisa la cavité buccale comme s’il baisait une chatte ou un cul lâchant, à tout va, des :
    
    - T’es une bonne chienne, une bonne salope, ta bouche est délicieuse à prendre, oui une sacrée salope …
    
    Ma mère, quant à elle, s’activait à lui lécher savamment le clito pendant que Monsieur le Marquis intervint, il baissa à son tour son pantalon exhibant une impressionnante verge dressée de grosse taille et encula sans ménagement et d’une force inouïe, le cul de la soumise, qui avait été formée pour ne pas crier alors juste un gémissement lui sorti de la bouche encombrée du sexe de mon père... Quant à moi, je me sentais mal à l’aise de voir une telle scène. Malgré l’éducation de Domina que mon père essayait de me donner depuis plusieurs longs mois, cela ne m’excitait pas ...
    ... du tout de ce que faisait subir mes parents et Monsieur le Marquis à cette chienne en chaleur. Visiblement comblée du traitement qu’elle vivait, c’est sa condition même de soumise qui m’excitait beaucoup plus que l’idée de dominer, bref, ce qui m’excitait était clair, c’était plutôt de subir et non de faire subir…
    
    C’est sur cette forte pensée en tête que je fantasmais à me faire prendre ainsi, à être traitée comme cette soumise que je commençai donc à me branler le clitoris, me doigtant tellement car j’avais donc envie de vivre la même chose. Je coulais littéralement de les voir la prendre par tous ses orifices... et je l’enviais ! La seule pensée de subir une telle possession sur mon corps, de penser de n’être que cette chienne en chaleur que l’on pourrait user et abuser, à être ainsi utilisée, me fit mouiller comme rarement je pouvais mouiller… Et au bout d’un moment je ne pus donc me retenir, trop excitée par toutes ses pensées, mes doigts entraient dans ma chatte comme dans du beurre et j’activais rapidement leur pénétration en des va-et-vient cadencés du plus profond que pouvaient atteindre mes doigts quand ma jouissance éclata. Je lâchais alors un râle animal et laissa couler de mon abondante cyprine sur le sol en chêne massif du Châtelain... A ce moment-là, quand mon regard croisa celui de Monsieur le Marquis, celui-ci s’arrêta de forniquer pour me dire un soupçon sévère :
    
    - Et bien Cristal, il va falloir que je fasse nettoyer le sol
    
    - Je … Je…. suis désolée ...