Histoires d'un mâle alpha (13)
Datte: 28/05/2021,
Catégories:
Trash,
Auteur: auplaisirdetous, Source: Xstory
... ça restera entre nous.
— Toujours pas de réponse, je prends donc cela pour un oui. Vous m’aidez à apporter le dessert.
Je prenais le gâteau qu’elles avaient apporté et lui laisser prendre les assiettes et les cuillères. On ne parla pas de notre échange. Et Catherine ne laisse absolument rien transparaître. Elle était forte. J’avais encore plus envie d’elle.
On prit un digestif sur la terrasse. Et alors qu’avec Juliette on alla se baigner, Catherine resta avec mon père. Alors que l’on s’embrassait dans l’eau, je les vis eux aussi s’embrasser puis rentrer. Je le fis remarquer à Juliette.
— Jaloux ?
— On verra dans quelle chambre il y aura le plus de bruit cette nuit !
— Compte sur moi mon chéri.
Et j’ai pu compter sur elle. On a baisé une bonne partie de la nuit, elle n’hésitant à crier de plaisir et moi à pousser des râles puissants de cerf satisfait. J’avais prévenu Juliette que le dimanche je ne serai pas là, que je devais « aider » Élise. De toute façon elles avaient prévu d’aller à la plage toutes les deux. Finalement mon père les accompagnerait. Alors que Juliette prenait sa douche dans ma chambre, j’arrivai dans la cuisine. Catherine était là à table, et mon père préparait le petit-déj. Je me mis derrière elle, debout, j’étais en boxer, j’étais suffisamment près d’elle pour qu’elle sente ma présence et qu’au moindre mouvement elle sente mon corps sur elle.
— Salut. Bien dormi ?
— C’est à toi qu’il faut demander ça !
— Pas mal. Pas ...
... beaucoup mais pas mal.
— Tu me fais un café Carl. Je vais pas tarder à y aller.
Je suis passé devant elle, j’ai senti son regard sur moi. J’avais une érection matinale sous mon boxer ; je me suis adossé au plan de travail, face à elle, sans aucune gêne. Son regard avait du mal à rester sur mon visage ou même ailleurs, ailleurs que sur mon boxer. Mon père a réagi timidement :
— Tu ne veux pas aller t’habiller Isaiah ?
— Non, suis bien là. Et puis je suis sûr que Catherine en a vu d’autres. Peut-être pas dans un passé récent, mais quand même.
Juliette est arrivée, a embrassé sa mère et saluer mon père, et s’est collée contre moi pour m’embrasser. Elle m’a murmuré :
— Tu bandes comme un âne là mon chéri.
— Permets-moi de te dire que te coller à moi comme ça, ne risque pas d’arranger ça.
Je suis parti. Mon père les a donc emmenés à la plage pour la journée. Je l’imaginais au service de la mère et la fille. En allant chez Élise, j’en venais à regretter de ne pas les accompagner. Ce sera pour une autre fois. A dix heures pile je sonne à sa porte. Élise vient m’ouvrir. Elle est en petite nuisette de soie et dentelle, très très très courte, rose, et super décolletée.
— Mmmmm pile à l’heure.
— Je n’aurais pas voulu être puni.
— Tu as bien fait !
Elle s’est collée à moi, les yeux dans les yeux et sur le pas de la porte m’a dit doucement :
— Embrasse-moi beau gosse.
— Je l’ai embrassée. Elle m’a pris par la main.
— Entre.
On est allé dans la ...