1. Les menottes


    Datte: 28/05/2021, Catégories: ffh, cadeau, fsoumise, hsoumis, noculotte, Masturbation préservati, fdanus, attache, yeuxbandés, couple+f, Auteur: Jielel, Source: Revebebe

    ... me baiser avec elle. Ça te dit ?
    
    Mes paroles ont eu l’air de l’interpeller. On a beau être ingénieur, on n’en reste pas moins sensible à la perspective d’une partie de jambes en l’air hors du commun.
    
    Mignon il a quand même fermé mon chemisier, a réajusté sa bite et est parti vers le garage. Cinq minutes ont suffi. Il y a d’abord eu un genre de cri puis des chuchotements. Des pas dans les escaliers. Mon hôte est vite revenu. Un peu embarrassé, il m’a dit qu’elle était d’accord mais à une condition.
    
    Il commençait à prendre son rôle au sérieux car, sans me demander mon avis, il m’a mis un bandeau sur les yeux. Il m’a fait encore boire puis m’a glissé un bas dans la bouche et me l’a noué derrière la tête.
    
    Le maître pouvait appeler la maîtresse de maison.
    
    Aveugle et muette, j’étais devenue présentable.
    
    — Véro, viens.
    
    Pas précipités dans l’escalier.
    
    — Ça alors, j’aurais pas cru.
    — Tu vois, j’avais raison, c’était elle.
    — Touche pas. Laisse-moi faire.
    
    Madame se mettait en action. Elle a commencé par me tirer les cheveux en arrière.
    
    — Ahaaah, on vient en cachette voir mon mari ! Ah ah, on croit l’exciter avec des menottes…
    
    Comme une petite chatte en furie, elle a déchiré mon chemisier Cardin et tiré mon soutien vers le bas. J’ai alors senti des mains de femme venir sur moi. Étonnamment elles étaient plus fermes, plus violentes, plus expertes. Chipie.
    
    Ma gorge a senti les griffes, mes seins ont été nerveusement malaxés, mon piercing fébrilement ...
    ... soupesé. Jusqu’à ce que je sente deux autres seins venir se coller à moi. Tétons contre tétons, la sensation était forte. Décidément mon amie, sous le couvert du foulard, se montrait sous un nouveau jour.
    
    Ses ongles sont descendus. Ses mains ont ouvert mon pantalon. Je me suis penchée en arrière pour l’aider à faire glisser le tissu sur mes mollets.
    
    — Tu as vu, a-elle crié, elle n’a pas de culotte, la salope.
    — Tu crois que ça l’excite ?
    — C’est sûr.
    
    Mais oui, mes amoureux, je suis excitée, regardez-moi. Vous n’avez jamais vu ça, profitez-en. Regardez bien, j’écarte bien mes cuisses. Ça y est ? Vous voyez tout ? Regardez, oui, je n’ai pas de culotte, je n’en porte jamais. Oui j’ai un piercing là aussi. Oui, mes poils dégoulinent. Oui mon clitoris appelle la caresse, la morsure.
    
    Regardez mon sexe trempé, vas-y touche, vas-y enfonce tes doigts, tu n’as jamais osé penser un jour que tu verrais ça, qu’une femme menottée viendrait mouiller le divan du grand-père maternel ? Attends, je descends mes mains. Oui, regarde, j’ai un doigt dans mon cul, ça aussi tu n’as jamais vu…
    
    Il n’en fallait pas plus pour faire perdre ses principes à madame. Je l’ai entendue crier :
    
    — Allez vas-y défonce-la ! Elle doit être en manque sans homme depuis deux ans que Pierre l’a laissée tomber.
    — Tu crois ? Passe-moi une capote.
    — Oui, oui, défonce-la.
    
    Quelle fébrilité.
    
    En dessous de mon foulard, j’apercevais quatre jambes en effervescence. Le bas du tailleur toujours strict de ...