Evolutions (38)
Datte: 28/05/2021,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Fantasmatique, Source: Xstory
EVOLUTION
Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.
Chapitre 38 : Peau Aime.
Nous restons pendant un petit moment collés l’un à l’autre, ou je devrais peut-être dire l’un sur l’autre, et Alice qui a, cette fois, fléchi légèrement les membres afin d’éviter de continuer à subir la charge de mes quatre-vingts kilos, ne semble pas plus que moi avoir envie de bouger. J’écoute d’une oreille distraite la sixième symphonie de Beethoven, dont la musique bucolique sort toujours des enceintes, en me laissant bercer par elle.
C’est mon petit bout de femme qui rompt tout à coup ce moment à la fois romantique et très étrange, puisque la position que nous avons adoptée me fait penser à un crapaud, qui se serait assoupi après être grimpé sur sa femelle. Elle s’exclame avec la voix d’une petite fille que, comme les cris d’animaux, elle imite à la perfection :
— Envie pipi moi !
Je comprends aussitôt que je vais avoir droit à une nouvelle exhibition privée, par conséquent, je me remets debout pour aller chercher mon appareil-photo que j’ai posé un peu plus tôt au bord de la piscine; et mon amante m’accompagne afin d’enfiler ses mules, avant de retourner sur l’herbe, et de se mettre accroupie. Pour ma part, je m’agenouille afin d’être à sa hauteur, mais je me place cette fois de trois quarts par rapport à elle, de manière à pouvoir ...
... cadrer sur l’arc de cercle que va faire son jet de pisse, et en espérant qu’il sera aussi abondant que la première fois.
Ensuite, je positionne le bouton de mon Canon sur le mode rafale, et ma compagne qui a attendu patiemment que je sois prêt, ce qui me montre que son envie n’était pas si pressante que cela, écarte délicatement ses petites lèvres avec ses doigts dans le but de dégager son méat urinaire, qui n’est autre que le trou grâce auquel les femmes peuvent vider leur vessie.
Lorsqu’elle est prête, je vois un flot de liquide ambré jaillir, qui, sans surprise, part vers l’avant en s’incurvant pour aller s’écraser sur le gazon en faisant des éclaboussures, et tandis que je fais des clichés, je suis heureux comme un enfant qui aurait réussi à prendre un arc-en-ciel dans son intégralité.
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Mon air émerveillé n’échappe d’ailleurs pas à Alice, puisqu’une fois, que sa source s’est tarie, et que, comme hier, elle a récolté une goutte qui est restée accrochée à sa vulve avec son index, et a porté ce dernier à sa bouche pour le sucer, elle me dit :
— Tu fais la même tête qu’un gamin le matin de Noël, mon Amour.
Il n’y a aucune trace de moquerie dans sa voix, mais juste de la tendresse, et je lui réponds sur le même ton :
— Avec toi, c’est Noël tous les jours, ma Chérie.
Cette répartie me donne droit à un magnifique sourire de sa part, et tandis que je l’aide à se relever, après m’être moi-même remis debout, elle réplique :
— Je pourrais en dire autant ...