Je suis un jouet entre ses mains (6)
Datte: 27/05/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: donico, Source: Xstory
... hermétiquement closes.
Non, ça je ne peux pas.
Il force, il insiste. Je repense alors au chantage qu’il exerce sur moi, à Thomas. Je ne veux pas tout perdre !
Alors j’entrouvre les lèvres.
Son gland coulisse à l’intérieur, doucement. L’odeur est toujours aussi déplaisante que dans mes souvenirs. Le lubrifiant qu’il sécrète n’a vraiment pas un goût agréable, et il en dépose au passage sur mes lèvres et dans ma bouche.
Décidée à en finir le plus vite possible, je suçote son gland, écœurée. Mais cela ne lui convient pas. Il pousse encore, et son sexe commence à entrer plus largement. Je dois en avoir la moitié dans la bouche maintenant.
Même si je ne connais pas la taille de son pénis !
Bizarrement, je préfère ça. Mes lèvres se referment maintenant sur sa hampe et non sur son gland, je n’ai donc de dépôts de lubrifiants. J’en sens encore le goût, surtout qu’il continue d’en sécréter, mais c’est déjà plus léger.
J’aurais l’instinct de porter une main sur la base de son sexe - pour le masturber en même temps - mais je ne peux pas, puisque mes mains sont attachées ! Alors je le laisse aller-et-venir légèrement entre mes lèvres.
Tant qu’il n’est pas violent ça va, mais le goût reste relativement désagréable. Soudain, une idée me vient : plutôt que d’éviter le contact avec son liquide intime, autant régler le problème une bonne fois pour toutes !
Je pompe alors littéralement le bout de son sexe - ce qui le fait gémir de plaisir - allant jusqu’à glisser ...
... le bout de ma langue dans l’urètre. Parallèlement, je me lèche les lèvres pour récupérer ce qui s’y trouve. C’est déplaisant sur le moment, mais ça marche !
Passées les premières minutes, son sexe ne sécrète effectivement plus suffisamment de lubrifiant pour qu’il ne soit pas immédiatement dilué dans ma salive, au point d’être quasiment inodore.
Et alors tout change !
La fellation ne devient pas agréable en soi, mais elle ne me répugne plus. Elle n’est plus déplaisante, ce qui est beaucoup. Sans compter qu’il commence à gémir, à me caresser les cheveux... ce qui m’excite !
Je ne souhaite plus seulement qu’il me libère les mains pour le masturber... mais aussi pour me masturber, moi !
Je me mets alors à gémir, comme si le fait de le sucer me procurait du plaisir. J’entreprends de plus grands mouvements, du gland jusqu’à la base. Ou tout du moins jusqu’au plus loin possible, car son sexe butte au fond de ma gorge avant que je ne puisse entièrement le prendre en bouche.
A force de gémir et de lui donner du plaisir, je finis par vraiment en ressentir. Je n’ai même pas besoin de mes doigts pour me rendre compte que mon sexe est trempé. Comme j’aimerais qu’il me caresse ! C’est une sorte de retour des choses : hier, il m’a donné du plaisir, aujourd’hui je lui en donne.
Et demain ?
Soudain, il se retire. Je suis presque déçue, ce qui m’étonne. Jusqu’à ce matin, je ne supportais pas les fellations !
Il n’est toutefois pas parti très loin. Il se réinsère, ...