Ma femme, son truc, c'est d'être attachée
Datte: 26/05/2021,
Catégories:
fh,
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extracon,
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Auteur: Vincent A, Source: Revebebe
... quoi manger, m’annonça Marion en sortant de la salle de bain en tenue très sexy. Je risque de rentrer très tard car, après le ciné, Estelle veut m’emmener bouffer quelque part. Tu comprends, elle est seule maintenant, c’est normal que je ne la laisse pas tomber et que je dîne avec elle. Bisous.
J’ai pris mon casque pour pouvoir la suivre à distance, en scooter. Elle est partie à pied vers le boulevard. Arrivée au coin de la rue, je la vis téléphoner avec son portable. Cinq minutes plus tard, une grosse Audi Q7 s’arrêta devant elle. Un mec habillé chic, au teint hâlé et aux cheveux grisonnants en descendit. Mon épouse lui sauta au cou. Le mec l’embrassa sur la bouche puis lui ouvrit galamment la portière en lui mettant au passage la main aux fesses d’un geste possessif.
J’étais fixé, j’étais bien cocu. Qui était ce vieux salaud bourré de thunes ? Il avait bien vingt ans de plus que ma femme. Où allait-il la sauter ? Sur mon scooter je gambergeais dur. Le tube de gel intime me faisait péter les plombs. Marion n’avait aucun problème de sécheresse vaginale. C’est donc que ce type se l’enfilait côté cour et côté jardin, l’ordure ! J’allais lui faire bouffer ce tube de gel avant de lui éclater la tête contre le mur… Et le sac Vuitton ? Sûrement un vrai, finalement. Un cadeau de cette ordure.
Je ne quittais pas des yeux la grosse Audi. Heureusement, il y avait encore beaucoup de circulation et me faufilant entre les voitures, je réussis à rester au contact. À ma grande ...
... surprise elle se dirigea dans une petite rue que je connaissais, celle où habitait Estelle. Non seulement cette garce servait d’alibi à ma femme mais en plus elle lui prêtait son lit. Allait-elle tenir la chandelle ? S’agissait-il d’une partie à trois, à quatre, ou plus ? D’une partouze ?
Le type se gara comme une merde sur un emplacement destiné aux handicapés et je les vis entrer dans l’immeuble. Mon regard se porta immédiatement sur les fenêtres de l’appartement d’Estelle. Elles n’étaient pas éclairées, signe qu’il n’y avait personne et qu’il s’agissait d’un cocufiage on ne peut plus classique.
J’étais perplexe. Que pouvais-je faire ? Sonner à l’interphone ? Ridicule, ils ne risquaient pas de m’ouvrir. Attendre deux heures ou plus qu’ils ressortent et démolir le portrait de l’amant de ma femme ? J’ai soudain pensé que, d’ici le prochain « match », je pouvais très bien récupérer la clé d’Estelle dans le sac de ma femme et en faire un double. Je pourrais avoir un beau flag.
Je suis donc reparti sur mon scooter, non sans m’être occupé de l’Audi. Rassurez-vous, j’aime les voitures, je ne suis pas du genre à rayer une belle carrosserie. J’ai seulement dégonflé les deux pneus côté trottoir. Ce n’est pas bien, je sais, mais cela soulage. Marion est rentrée très, très tard, forcément. J’ai fait semblant de dormir, j’avais trop peur de lui taper dessus en l’écoutant me débiter une excuse bidon.
Les jours qui suivirent furent un véritable calvaire. J’essayais de ne rien ...