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Une prof sous chantage
Datte: 26/05/2021, Catégories: ff, jeunes, profélève, chantage, strip, policier, Auteur: Tobin Williams, Source: Revebebe
... simple cadeau d’anniversaire ; c’est une façon de te remercier. — Pour moi, cela ressemble plutôt à un cadeau d’adieu. Une expression peinée passe sur le visage de Véronica. Mes aventures avec les femmes n’ont jamais perduré dans le temps et cela m’a toujours plus ou moins convenu. Cependant, les choses sont quelque peu différentes en ce qui concerne la jeune femme allongée à côté de moi. Sa plastique parfaite m’a tout de suite plu, mais c’est à sa personnalité que je me suis la plus attachée. Insidieusement, je me suis mise à aimer notre relation secrète et peut-être également à aimer Véronica. Suis-je tombée amoureuse d’elle ? Devinant mes pensées torturées, Véronica m’embrasse tendrement les lèvres, puis me lance dans un murmure : — J’ai pensé que je te devais l’expérience d’une nuit avec moi avant de m’en aller. Je veux que tu gardes un agréable souvenir de notre relation. Prends bien soin de toi, Noémie. Sur ces mots, elle se lève du lit. Dans la lumière du matin, son corps nu est pareil à une apparition onirique. Sa taille fine et ses fesses rebondies vont me manquer autant que ses seins ronds et ses lèvres charnues. Elle me sourit par-dessus son épaule, tandis qu’un voile de tristesse se pose sur moi. 3. Autoritaire et implacable ! C’est ainsi que certains élèves aiment me décrire. Je sais que des sobriquets tels que « Mademoiselle pince-sans-rire » ou « La harpie aux gros nichons » sont utilisés pour me désigner dans la cour de récréation, mais cela ...
... m’est égal. Force est d’admettre que j’entretiens volontiers ma réputation par des répliques cinglantes et des regards assassins. Mon apparente sévérité m’assure un contrôle presque absolu sur mes élèves. À défaut de respect, la crainte que je leur inspire est une garantie nécessaire au bon déroulement de mes cours. Je me nomme Noémie Fox et je suis professeure de littérature. Contrairement à ma vie privée, je suis parfaitement épanouie dans ma vie professionnelle. Debout derrière mon bureau, j’observe attentivement mes élèves avant de me présenter. J’entame ma troisième année d’enseignement et mon discours de bienvenue est sensiblement le même que celui des précédentes rentrées scolaires. Mes propos sont solennels, mais tous y prêtent une oreille attentive. Je parcours la salle des yeux et suis frappée par l’intensité du regard d’un adolescent posé sur moi. Installé au deuxième rang, il me dévore littéralement des yeux en me faisant presque perdre le fil de mes idées. Je détourne rapidement le regard pour éviter de balbutier comme une idiote et je conclus mon discours par une menace d’exclusion pour quiconque perturbe mes cours. Je suis habituée à ce que les élèves redressent la tête en me voyant. C’est d’autant plus vrai lorsqu’ils me rencontrent pour la première fois. J’avoue ne pas détester l’effet que je produis sur eux. J’adore surprendre sur moi le regard troublé des garçons et envieux des filles. J’aime la raideur de leurs gestes lorsque je me penche sur leurs ...