1. Le stagiaire . . . (4)


    Datte: 26/05/2021, Catégories: Erotique, Auteur: dodomido, Source: Xstory

    ... ce qu’il puisse mieux voir mon décolleté.
    
    — Si tu veux te rincer l’œil, ne te cache pas, regarde. C’est fait pour ça.
    
    Il me sourit, regarde plus intensément dans mon décolleté, très gêné du spectacle que je lui offre.
    
    — Tu as une superbe poitrine.
    
    — Merci. Décidément, j’ai une bouche à pipe, des gros seins, et tu me trouves sexy. Ça va t’exciter tout ça. (En le fixant dans les yeux)
    
    — Ça risque oui
    
    — Si ce n’est pas déjà fait. Non ?
    
    — J’avoue que tu as le don de m’exciter.
    
    — Si je comprends bien tu aimes les grosses poitrines et les lèvres pulpeuses.
    
    — Tu as tout compris.
    
    — Alors regarde ma bouche, et mate ma poitrine. Ça ne me dérange pas. Puis nous ne sommes plus au boulot. Nous sommes que tous les deux. Ne te gêne pas, regarde ce que tu aimes regarder ouvertement.
    
    Nous restons environ une heure au bar. Pendant cette heure, en parlant, je fais la moue avec ma bouche, je me mets dans des positions de façon à ce qu’il puisse voir un peu mieux mon haut qui laisse deviner une poitrine lourde mais ferme.
    
    Mais il va falloir que je pense au retour à la maison. Je ne peux pas me permettre de rentrer chez moi à plus de minuit, sinon, mon mari va se dire plus d’une heure supplémentaire, ça fait beaucoup. En effet, il arrive quelques fois que je fasse un peu de rabe, mais jamais plus d’une heure.
    
    — Il va être temps que je rentre si je ne veux pas que mon mari s’inquiète.
    
    — Il est jaloux ?
    
    — Oui, il est un peu jaloux. Mais ça va, il me ...
    ... laisse du temps de libre et ne me surveille pas comme lait sur le feu quand même.
    
    — La première soirée t’a plu ?
    
    — Oui, c’était super-sympa. Et nous avons mieux parlé que quand nous sommes au boulot.
    
    — C’est vrai. Plus de liberté d’expression.
    
    Nous sortons du bar et nous nous dirigeons vers nos voitures. Nous avons environ 10 minutes de marche. Je réfléchis comment je peux m’y prendre car j’ai envie de lui faire au moins un petit truc avant de le quitter. Puis je repense à notre petit jeu pas SMS, de ce qu’il a gagné. J’embraye dessus...
    
    — Au fait, tu ne m’as pas demandé qu’est-ce que tu avais gagné ! Tu te souviens ?
    
    — Ah oui ! Tu vas me le dire maintenant ?
    
    — Avant que je te le dise, j’ai une question. Es-tu très discret ?
    
    — Oui, pourquoi cette question ? Tu as bien vu par rapport à mes SMS.
    
    — C’est vrai que tu fais preuve de discrétion. Donc tu veux savoir ce que tu as gagné ?
    
    Nous sommes au niveau des voitures. Je regarde autour, des jeunes ne sont pas loin de l’endroit où nous sommes garés sur des bancs publics. De l’autre côté, des gens qui se promènent avec leur petit chien. Il est 22H35. Zut ! Du monde autour, il est tard (par rapport à mon mari), je suis un peu ennuyée, ça ne va pas être simple.
    
    — Oui, dis-moi ce que j’ai gagné. Je n’en ai aucune idée.
    
    — Je vais te le dire dans ta voiture. Je peux monter dedans ?
    
    — Oui oui, viens, on monte dans ma voiture.
    
    Une fois que je suis dans sa voiture, je regarde une nouvelle fois autour, ...
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