Le stagiaire . . . (4)
Datte: 26/05/2021,
Catégories:
Erotique,
Auteur: dodomido, Source: Xstory
... derrière moi, et je sens son sexe s’enfoncer. Hum... Il ne me tient pas les hanches, et me besogne énergiquement. Je remue mes fesses. A un moment donné, je lui demande de me donner des claques sur les fesses. Il le fait timidement, mais pas suffisamment à mon goût.
Puisqu’au lieu de me donner des vraies claques il me caresse, je lui demande de sortir de moi. Ce qu’il fait. Je m’avance un peu, mets la tête contre son dessus-de-lit, lève au plus haut mon fessier.
— J’ai envie d’une fessée. Je suis une vilaine fille, claque-moi !
Ses premières claques sont douces. Il n’ose pas. Je lui demande de me claquer plus fort. Au fur et à mesure, il prend de l’assurance et je commence à sentir ses mains me claquer de plus en plus fort. Je le motive.
— Plus fort ! Donne-moi la fessée ! Si tu me donnes une vraie fessée, je vais te faire un beau cadeau.
Il me claque et encore, et encore. J’ai les fesses qui deviennent sensibles. J’ai presque mal. Mes fesses sont tellement rouges qu’il me pose la question.
— Tu veux que je continue ou j’arrête ?
— Tu m’as donné une bonne fessée. Je vais te faire un cadeau.
— Un cadeau comment ?
— Tu as déjà sodomisé une femme ?
— Non, jamais eu cette occasion.
— Tu veux que je t’offre mon cul ?
— Oui. Vraiment, oui. Tu es un superbe cul
Je me positionne en lui présentant mon cul.
— Tu mets de la salive sur mon petit trou et sur ton gland. Tu pousses doucement jusqu’à ce que le gland soit entré. Ensuite, tu vas ...
... plus loin en faisant de petites allées et venues au fur et à mesure que tu t’enfonces. Et après, encule-moi, fais ce que tu veux.
Je sens son gland forcer l’entrée de mon anus. Je me décontracte. Ça entre facilement. Puis son sexe va-et-vient dans mon cul, je remarque qu’il est très excité de pouvoir me posséder de la sorte. Et moi aussi, je prends un grand plaisir ! Je ne suis pas une adepte de la sodomie, mais mon mari a bien ouvert mon petit trou, il aime le prendre.
Il me prend tellement bien que j’arrive à jouir de l’anus.
— Quand tu sens que tu vas jouir, tu me le dis et tu te retires.
Je le sens qui s’excite dans mon cul que je lui offre, lui tends, lui ouvre.
— Je vais jouir, ton cul est trop bon.
Je m’avance, il se retire, je me retourne toujours à quatre pattes de façon à avoir mon visage devant ce sexe qui va exploser à un moment ou à un autre, mais très bientôt. Je le prends dans la main, le branle frénétiquement, et lui offre une éjaculation faciale digne de ce nom. Bien qu’il ait joui une première fois sur mes seins à l’aide de la branlette espagnole de tout à l’heure, mon visage reçoit quelques giclées. J’en ai sur la joue droite, sur le menton, un peu sur les lèvres, que je prends bien soin d’étaler partout avec son gland, ainsi, mon visage se retrouve avec du sperme étalé un peu partout. Il gémit, tressaute, souffle.
Je redresse la tête, le regarde avec un sourire satisfait. Il en fait de même.
— Ouf ! Tu es une grande coquine, rien ne ...