1. Réveillon(s)-nous !


    Datte: 25/05/2021, Catégories: fffh, fête, noculotte, rasage, Oral fsodo, échange, Partouze / Groupe champagne, uro, Humour Auteur: Samuel, Source: Revebebe

    ... excité. Je lui ai dit qu’il n’était pas logique puisqu’il avait paru choqué. Il m’a coincée dans le débarras de linge sale et il a voulu me baiser sur des vieux slips, mais je me suis refusée à lui. Il s’est mis dans une colère noire. Alors, j’ai trouvé un compromis. Je lui ai expliqué que j’allais vous retrouver. Il s’est insurgé. « Mais enfin, c’est encore plus excitant pour toi. » que je lui ai dit. « Alors, tu fermes les yeux, tu m’imagines là-bas en train de faire tout ce qu’il y a de plus sale, et moi je te masturbe avec un gant de caoutchouc. » Il a éjaculé au bout de cinq minutes et il est allé se coucher. Avant que je parte, il m’a dit de finir la blague rigolote qu’il n’avait pas eu le temps de raconter : c’est une fesse qui dit à l’autre fesse « Pourquoi ne peut-on pas être amies ? » L’autre répond « C’est parce qu’il y a trop de merde entre nous ! » Je suis désolée, mais je lui ai promis de la terminer… Maintenant, je suis toute à vous.
    
    Elle s’est penchée sur la table en pleurant tout doucement. Ses cheveux blonds se sont imbibés de café. Ses genoux tremblaient un peu quand elle est descendue progressivement sur ses talons. Puis elle est passée sous la table, disparaissant sous la longue nappe orientale. Gisèle fut la première à réagir :
    
    — Angélique, il y a plusieurs malentendus. D’abord, tu te comportes comme si tu avais quelque chose à te reprocher. Tu te caches sous la table comme un petit chien. Et puis, nous ne faisons rien de sale, même quand nous ...
    ... pissons de joie. Seule la blague est sale quand elle génère de gros rires gras. Alors tu vas sortir de ta cachette et venir prendre le café avec nous. Allez, viens, il va refroidir.
    
    Angélique passa la tête. Sans doute avait-elle pensé que les « choses sexuelles » se faisaient dans le noir, en cachette, en catimini. Elle se redressa et nous parla d’une voix douce :
    
    — Je viens de comprendre quelque chose. En fait, quand j’ai vu Armand se déboutonner, je me suis dit que toute ma vie je m’étais au contraire boutonnée. Et souvent au restaurant ou dans la rue, Félix me disait « Fais attention, tu as encore un bouton de ton corsage qui a sauté, on voit tout. » Aussi je vais vous demander une paire de ciseaux, et rattraper le temps perdu.
    
    Nous lui avons fourni ce qu’elle désirait et elle s’est mise à couper consciencieusement tous les boutons qui décoraient sa tenue de soirée. Elle a commencé par le corsage, laissant entrevoir les armatures d’un joli soutien-gorge. Puis la jupe est tombée lorsque les derniers boutons qui la retenaient ont cédé. Il se trouve que sa culotte aussi portait sur le côté des fermoirs en nacre. Elle les découpa sans pitié pour le bel objet qui descendit à ses pieds dans un bruit feutré.
    
    Et c’est couverte de son seul corsage et d’un soutif qu’elle fit le tour de la table, le ventre majestueusement orné d’une toison noire. Au deuxième tour de table, les mains se firent caressantes. Celle de Bianca avait à peine fini de toucher ses grandes lèvres que ...