Lettre à Boucle D'or (1)
Datte: 25/05/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: RENIFLEUR61, Source: Xstory
... entendait dans la pièce, que ses narines du jardiner qui travaillaient. Son sexe était déjà humide, c’était parfait. Je caressais le bout du gland, redescendais doucement le long, remontais, m’occupais du gland… Des mouvements plus rapides pour passer aux choses sérieuses. Je calais sa queue bien droite avec un pied, et avec deux doigts du deuxième, je serrais comme je pouvais, et le branlais doucement. Oh, je crois que je m’y prenais bien, il prit mon pied dans sa main et me le caressa.
— Avec tes pieds gainés de nylon, et la culotte de la cochonne… C’est excellent ! Ne t’arrête surtout pas.
— Oh, mais je ne comptais pas m’arrêter en si bon chemin.
De haut en bas, j’accélérais mes mouvements. Il ne devrait plus tarder, à lâcher sa purée. Sa bite au meilleur de sa forme, bien en l’air, allait bientôt exploser, je le savais, je le sentais. Je ne pouvais pas aller plus vite, mais je serrais plus. Un léger gémissement de sa part m’avait fait comprendre que c’était bon. Sa bite se durcissait encore plus, et je sentais une première éjaculation. Son premier jet s’étala sur tout le long de mon pied jusqu’à ma cheville. Les suivants coulaient le long de sa bite et sur le bout de mon pied. Les jets n’étaient pas puissants, mais il y avait une grande quantité de sperme. Le jardinier était en extase, je le sentais car il serra bien mon pied dans sa main ma main libre. Il lâcha enfin la culotte, qu’il posa sur la table. On resta un petit moment comme ça, sans bouger, avant ...
... qu’il me dise.
— Euh… je vais m’essuyer…
Avec un petit sourire gêné. Il me dirigea jusqu’au plan de travail, où il se saisit d’un rouleau d’essuie-tout. Je me suis levée à mon tour et je l’es rejoint. Je me suis lovais contre, frémissante comme une chatte effrontée. Je lui pris le rouleau des mains, que je posais sur le comptoir, et me saisissais de ses mains qui les glissé sous mon haut. Mes seins menus palpitaient dans le creux de ses paumes, tandis que je lui mordillais le cou. Pendant ce temps, je m’activais de nouveau ma main sur sa queue souillée.
Le jardinier descendait ses mains le long de ma chair, palpait mes hanches, puis relevait ma jupe avec fébrilité. Je me cambrais quand il me prit mes fesses à pleines mains, les pétrissait, les frottais l’une contre l’autre, puis les tirais pour les écarter, faisant bâiller la raie.
Nos regards se croisèrent. Lèvres entrouvertes, brillantes, il me défia d’un sourire, tout en passant sa langue sous mes dents. Sans attendre, j’ai voulu me mettre à genoux.
— Attends. Pas tout de suite. Tourne-toi.
Je me relevais, il me retourna face contre le comptoir. Plaqué contre moi, verge calée dans le sillon fessier, il me murmura à l’oreille.
— Ma bouche d’abord. Cambre-toi.
Je ne me fis pas prier. Le jardinier s’abaissa derrière moi. Je réprimais un gémissement d’aise, quand il m’arracha le collant, mais surtout quand sa bouche brûlante goba ma fente ruisselante en une langoureuse caresse d’amour. Lèvres de chatte et ...