1. La punition de la directrice (6)


    Datte: 24/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Docsevere, Source: Xstory

    La chienne n’a pas tenu très longtemps. A peine son ventre était-il rempli et arrondi qu’elle a commencé à gémir, à se plaindre, à dire qu’elle ne pourrait plus en endurer davantage ni serrer plus fort les fesses et qu’elle sentait que le liquide allait sortir.
    
    Comme il devenait urgent d’intervenir, j’ai paré au plus pressé et ai pris ce qui me tombait sous la main dans cette cuisine : une bouteille de champagne vide (vidée il y quelques jours avec une jeune femme des plus agréables).
    
    C’est donc sans douceur que j’ai retiré de son anus la canule qui a fait un « ploc » sonore, et que je l’ai remplacée par l’extrémité de la bouteille. Je lui ai enfoncé le goulot jusqu’à mi-longueur, lui dilatant son anneau culière de façon excitante et impressionnante.
    
    Elle a dû commencer à se vider dans la bouteille vide, mais je ne me suis pas attardé à regarder : je l’ai relevée énergiquement par le poignet et l’ai emmenée jusqu’à la porte des toilettes, l’obligeant à tenir la bouteille enfoncée dans son cul ! :
    
    — Va et vide-toi, catin ! Prends le temps qu’il faut, mais reviens vidée et propre...
    
    Jenna, les yeux baissés, a l’air dépité comme une petite chienne qui vient de faire une bêtise. Elle ne s’est pas fait prier. Elle avait l’air tellement ridicule en se contorsionnant pour tenir la bouteille en place.
    
    — Et ne me salis rien ! Si tu souilles mes sanitaires, tu nettoieras... et à quatre pattes... et à coups de ceinture sur ta croupe ! lui crié-je à travers la ...
    ... porte.
    
    Je sais vraiment comment dresser une chienne et la rendre bien docile, moi.
    
    Quand elle ressort, en sueur, titubant sur ses bottes, je la prends par la main et la guide vers la porte de la cave :
    
    — Nous allons passer aux choses sérieuses, Jenna. Il est tant pour vous, après avoir été initiée, d’être éduquée.
    
    Elle descend à côté de moi les marches en brique, grossières et humides. L’atmosphère est glauque et sinistre, la lumière est blafarde. Elle frissonne, plutôt de crainte que de froid.
    
    Mon sous-sol est grand, mais bien ordonné. Je la guide vers la porte d’une salle que j’ai aménagée pour le dressage des salopes, jeunes ou vieilles. Contrastant avec le reste de la cave, bien qu’elle n’ait pas de fenêtres, cette pièce est claire et semble presque lumineuse. Mais le mobilier et l’équipement qui y sont présents ont tout pour lui faire immédiatement comprendre que je ne suis pas un amateur. Il y a du matériel et de quoi immobiliser, contraindre, soumettre les femelles de toutes sortes et de toutes catégories : tout est réglable.
    
    Elle proteste en voyant toutes mes installations, la peur la fait parler... à moins que ce ne soit qu’un jeu (elle adore minauder, jouer à l’innocente pucelle, encore vierge de partout qui va se faire avilir... mais ne souhaite que ça !)
    
    Elle promet de me servir, d’accéder à tous mes désirs, mais me prie de ne pas lui faire mal.
    
    Je ris :
    
    — De toute façon, tu vas être soumise à tous mes désirs, tous mes fantasmes, toutes mes ...
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