1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (21)


    Datte: 23/01/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... m’exciter ou quoi ? En faisant l’innocente.
    
    — Tu as juste envie de te faire sauter. Ajoutai-je en lui pinçant son téton légèrement.
    
    — Patrick ! Comment tu me parles ! Tu pourrais avoir plus de respect, je suis ta tante enfin… S’insurgea-t-elle en passant sa main derrière ma nuque.
    
    — Dis-moi que j’ai tort. En me baissant pour aspirer son mamelon et le faire rouler entre mes dents.
    
    — Hannn je ne vais pas te dire non…tu me connais si bien et tu fais de moi ce que tu veux… Soupira-t-elle conquise par ma bouche dégustant son sein devenu généreux.
    
    — Viens ma belle, viens avec moi dans le salon.
    
    Véronique volontairement nonchalante se mit debout et me prit la main. Je me laissai guider par ma grande blonde aux mèches rebelles à l’allure majestueuse vers le salon. Dépourvue de maquillage et donc incroyablement sexy, elle se retourna face à moi. Devançant mes futures directives, robe de chambre et chemise de nuit se trouvèrent à terre. Désormais entièrement à poil je contemplai la sœur de ma mère. Sa silhouette était en forme de X, signifiant une harmonie parfaite entre la taille de ses épaules et de ses hanches. Au risque de me répéter, j’avais selon moi la définition de la femme, de mon idéal féminin respirant la maturité. Elle était la beauté incarnée, grande blonde aux yeux bleus avec ses seins-poirier (sic) bien mûrs.
    
    Quelle ne fut ma surprise quand mon idéal s’installa sur le canapé et dispersa ses jambes longilignes. Elle s’amusa de mon étonnement par un ...
    ... léger rictus, consciente de l’effet qu’elle produisait.
    
    — C’est bien ce que tu voulais mon cher neveu ? dit-elle d’une voix assurée.
    
    — Là tu fais fort ! Te connaissant, c’est bien la première fois que tu oses te mettre ainsi. En me débarrassant vite fait de mon caleçon.
    
    — Oui, mais je ne le ferai pas à tous les coups. Bon je suppose que tu as envie de me lécher ? demanda-t-elle sans détour.
    
    — Tu supposes bien. En m’agenouillant pour disposer de sa source si pure.
    
    J’entrepris une dégustation matinale de ma tante adorée. En victime consentante elle ne dit mot au début de mon cunnilinctus, puis progressivement elle émit de petits cris aigus et souleva son bassin, signe qu’elle était toute disposée à copuler une nouvelle fois avec le fils de sa sœur…
    
    Véronique partit chercher ses enfants à Paris la peur au ventre. Au final tout s’était déroulé sans heurt et le ventre de ma tante s’arrondissait au fil des mois.
    
    En septembre, au cinquième de sa grossesse j’avais une proposition de job fort intéressante de la part de Zusu père connu lors d’un séjour mémorable dans son hôtel particulier. Zusu se sentait redevable envers moi, redevable des précieux conseils prodigués à son fils par mes soins à cette époque. Il s’agissait ni plus ni moins d’intégrer la maison mère située à Tokyo avec un poste à haute responsabilité. Il avait tout prévu avec un logement de fonction pour cinq personnes. J’étais dans le doute exceptée Véro, séduite par l’idée de vivre une autre vie, la ...