1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (21)


    Datte: 23/01/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... à l’eau.
    
    Ma tante ne fumait plus, mais continuait de manipuler mon briquet en me jetant des regards avec insistance. Ma mère partie se changer elle n’avait qu’une envie, se faire baiser.
    
    — Bon je vais monter me mettre en maillot…tu viens me rejoindre Patrick ?
    
    — J’attendrai que tu redescendes Véro. Ce matin on a frisé la cata et par moment tu me fais peur, si ce matin maman était montée en haut, tu t’imagines sa tête en train de nous voir ? En scrutant ses lèvres m’appelant au péché.
    
    — Oh il ne sait rien passé, tu fais un monde de tout ! Mais ce soir tu viens me voir, promis ? insista-t-elle en me faisant ses yeux de biche.
    
    — Monte déjà te changer, ils partent demain et nous aurons tout notre temps…bon ce soir je verrai si elle prend des somnifères.
    
    — Alors là fais-moi confiance ! s’exclama-t-elle en se levant.
    
    Mon père arriva pour le dîner en s’excusant pour son retard, pas peu fière d’exhiber un sandre de six livres. Il eut droit à des applaudissements et ma tante à mes côtés en profita pour balayer le dessus de ses orteils sur mon mollet. Quand elle voulait devenir une allumeuse avec moi, elle savait s’y prendre et connaissait mes points faibles.
    
    Elle rangea vite son pied quand Oscar vint réclamer une part de dessert.
    
    — Maman, je peux encore avoir un peu de gâteau ?
    
    — Non tu vas être malade, tu en as déjà pris deux fois et je ne veux pas te veiller toute la nuit. Répondit-elle sèchement.
    
    — Pas grave si t’es pas d’accord je vais demander ...
    ... à Patrick, après tout c’est lui le chef ici ! répliqua-t-il.
    
    Véro le foudroya du regard sous le regard médusé de mes parents. Ainsi j’étais le chef à ses yeux, mais aux yeux de mes parents, que signifiait ce titre honorifique. Une fois de plus il me fallut intervenir sans contredire le petit. J’avais la crainte de le blâmer, la crainte de le voir balancer que je couchais avec sa mère.
    
    — Oscar sois gentil, t’as Maman a raison parce que si tu en reprends encore tu vas être malade et en plus je n’aurai pas ma revanche sur Monza ! lui expliquai-je calmement.
    
    — Ah t’es prêt pour jouer ? En oubliant mon rôle de chef.
    
    — Oui je viens dans cinq minutes.
    
    — Yes ! S’écria-t-il en partant.
    
    — Mais Véronique pourquoi Oscar considère Patrick comme leur chef ? S’interrogea ma mère.
    
    — Anne c’est très simple, depuis que Jacques est parti il n’y a plus d’homme à la maison à part leur cousin et comme Patrick est souvent là et que les garçons lui demandent souvent des conseils, ils partent du principe que c’est une sorte de grand frère. Raconta ma tante en me bluffant par son sang-froid.
    
    — Je comprends mieux d’ailleurs tu sais Patrick, ta tante m’a parlé de toi toute la matinée. On dirait que tu es devenu incontournable autant pour tes cousins que pour ta propre tante et si elle ne l’était pas, je crois bien qu’elle serait amoureuse de toi ! dit-elle en rigolant.
    
    — Oh Maman faut arrêter avec la boisson ! Tu pars dans l’Antiquité quand les frères et sœurs, mère et fils ...
«12...111213...18»