1. Yaelle, apprentie esthéticienne (2)


    Datte: 13/05/2018, Catégories: Zoophilie, Auteur: Juju85000, Source: Xstory

    ... journée arrive lentement ; je pense à Raymond, à ce qu’il a bien pu faire de sa journée, à ma surprise...
    
    18h30, enfin, j’ai fini ma journée. Je salue ma patronne et lui souhaite un bon week-end. Nous sommes samedi soir et je reprends mon travail mardi. Deux jours à profiter de mon chéri. Oui chéri ; le mot était lancé dans ma tête. Il faut bien que je me l’avoue, Raymond m’a rendue folle de lui. Son autorité, son physique disgracieux, son absence d’hygiène... tout me rendait dingue. Moi, la petite esthéticienne qui adore prendre soin d’elle et des autres, je me rends compte que l’opposé de tout cela m’excite terriblement.
    
    Je pars pour mon appartement. Sur le chemin, toujours les mêmes zonards qui me sifflent et essayent d’attirer mon regard, ces insultes, ces invitations à venir les sucer...
    
    J’arrive à mon immeuble et monte à mon étage. J’ouvre ma porte d’entrée. Mon sang est en ébullition, que vais-je trouver comme surprise ? Je rentre dans mon appartement. Je dépose mon manteau dans l’entrée et j’entends des voix venir de mon salon. Mi-déçue de ne pas avoir mon homme à moi toute seule, mi-curieuse de voir qui est avec lui, je me dirige vers mon salon. En faisant mon entrée dans le salon, Raymond et son invité se turent.
    
    — Waww ! Tu ne m’as pas menti, Raymond, cette nana est tout simplement sublime.
    
    — Merci Robert, et tu vas voir, elle est toute douce. Yaelle, je te présente mon ami d’infortune, Robert. Va lui dire bonjour.
    
    Je compris tout de suite que ce ...
    ... Robert était lui aussi un clochard du coin. Je m’approche de lui pour lui faire la bise. Robert ne se leva pas de son fauteuil, et je dus me pencher vers lui, lui offrant donc une vue imprenable sur mon décolleté que proposait mon chemisier. Je lui fis la bise. La même odeur que Raymond dégageait la veille, une hygiène tout aussi désastreuse. Son physique était différent de celui de Raymond. Il était grand, environ 1m80, maigre, très dégarni sur le haut du crane, mais avec des cheveux sur les côtés, la coupe de moine en quelque sorte. Une fois que je lui ai fait la bise, je partis vers mon Raymond pour l’embrasser à pleine bouche. Je m’assis à ces côtés.
    
    — Va nous chercher des bières que j’ai mises dans le frigo.
    
    Je me lève et obéis à Raymond et vais donc chercher la boisson. Je reviens et les dépose sur la table basse du salon. Raymond m’explique ce qu’il a fait de sa journée.
    
    — Ce matin, quand tu es partie pour ton travail, j’ai mangé un bout et je suis sorti. J’ai croisé ta voisine qui partait faire des courses, elle aussi. Dans l’ascenseur, j’ai bien vu que mon odeur la gênait. Je me suis permis de lui dire que cela ne te gênait pas à toi, bien au contraire. Elle était interloquée. Je lui ai dit que j’étais son nouveau voisin.
    
    Il continua son récit pendant un petit moment, qu’il avait acheté de l’alcool, de quoi manger...
    
    — Quand je suis rentrée, j’ai vu mon copain Robert qui était dans le parc avec son chien. Je suis allé lui parler et lui ai raconté mon ...
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