1. Marie perd sa virginité


    Datte: 23/05/2021, Catégories: fh, voiture, revede, pénétratio, init, prememois, Auteur: Maelys, Source: Revebebe

    ... mords les lèvres mais ne peux m’empêcher de pousser un cri de douleur. Sa verge vient de déchirer mon hymen. Il ne semble plus n’avoir qu’une idée en tête, celle de jouir en moi. Il va et il vient rapidement entre mes cuisses. Je mouille beaucoup et c’est une chance, car il est en transe et accélère sans cesse. J’ai envie de rire et de pleurer en comparant ce que nous faisons à deux chiens qui s’accouplent de manière frénétique dans la rue.
    
    Au bout de deux minutes, alors que je commence à passer de la douleur qui s’estompe à une sensation tout juste agréable, il éjacule en moi. Je sens la chaleur du sperme tout au fond de moi : j’aime ça… C’est presque le seul moment qui me laisse l’espoir que le plaisir durant le sexe est possible.
    
    Il s’allonge de tout son long sur moi et m’embrasse. Il me susurre un petit « merci » à l’oreille. Le seul moment de douceur qu’il m’accorde est un moment de politesse, celle d’un mâle qui remercie sa femelle de lui avoir permis de déverser sa semence. Il se retire sans un mot et commence à se rhabiller. Je prends une serviette hygiénique dans mon sac et je me garnis. J’ai un peu saigné et il en sera quitte pour nettoyer le siège de la voiture de ses parents. Je me rhabille.
    
    Il me raccompagne chez mes parents, sans rien dire, comme s’il ne s’était rien passé. Je suis heureuse d’être devenue une femme, mais triste que cela se soit passé ainsi, si froidement. Je sais ce qu’est un rapport sexuel. Ai-je pour autant fait l’amour ? Ce n’est ...
    ... pas le mot qui me vient à l’esprit. Nicolas n’est pas vierge ; il a déjà connu une fille. Sait-il ce qu’est l’amour ? Tous les hommes sont-ils d’espèces de loups-garous qui se transforment dès qu’une femme leur montre son sexe, qu’elle écarte ses cuisses ?
    
    Toutes ces questions se bousculent en moi. Je suis à l’orée de ma vie. J’ai toujours pensé que l’amour était une belle chose, un épanouissement pour un individu. Je ne sais plus si je viens de perdre mes illusions ou si le sexe peut être cet accomplissement de l’individu que ma mère a toujours évoqué avec moi.
    
    Il m’embrasse sur la bouche avant que je sorte de la voiture.
    
    — On se revoit demain, Marie ?
    — Je ne sais pas ; peut-être…
    
    Je sors de la voiture et rentre chez moi.
    
    Ma mère m’accueille. Elle me trouve bizarre, me demande si ma soirée s’est bien passée. Je lui réponds par l’affirmative. Je monte dans ma chambre, pose mon sac et me précipite dans la salle de bain. La douche est salutaire, pas seulement pour me laver. Je réfléchis. Je suis une femme ; mais si le sexe c’est cela, alors c’est triste. Je prends tellement de plaisir quand je me touche… Là, c’est décevant.
    
    Non, ce ne sera pas « peut-être ». Je prends la décision de ne plus voir Nicolas. Il m’a faite femme, mais il a brisé mes illusions de jeune fille. Je déprime un peu. J’ai besoin d’affection, mais si Nicolas aime mes seins, mes fesses et m’a déflorée, il ne s’est pas préoccupé de moi.
    
    Suis-je juste bonne à recevoir le sexe d’un homme, ou ...