1. Souvenirs d'infirmière (partie 3)


    Datte: 13/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Clar, Source: Hds

    ... haut de la cuisse et prend possession de mes fesses qu’il caresse. Sa main passe sous le string et un doigt atteint ma vulve mouillée. Les soupirs de Chantal m’indiquent que son autre main joue la même partition. Tel un petit sexe, son doigt me pénètre, nous pénètre l’une et l’autre.
    
    « Déshabillez-vous » nous ordonne-t-il. Chantal déboutonne mon chemisier et m’en débarrasse. Je passe son pull par-dessus sa tête. Nos mains partent dans nos dos, dégrafant nos soutiens-gorges qui rejoignent nos vêtements au sol. Chantal prend possession de mes seins. Ses mains sont douces. Elles soupèsent mes seins, griffent doucement la peau, pincent délicatement mes têtons dont je sens les pointes s’ériger. Elle me fait pivoter, plaquant ses seins contre mon dos. Elle me tourne vers Ben. Celui-ci retrousse ma jupe et retire mon string. Il se met à genoux et approche sa bouche de mon sexe détrempé. Chantal continue de me caresser les seins et m’embrasse dans le cou. J’ai posé mes mains sur la tête de Ben pour accompagner son coït buccal. Sa langue pénètre mon sexe. Au moment où le plaisir va monter, il me délaisse et rampe vers Chantal. Nous inversons les positions. Je caresse à présent ses seins, alourdis par deux grossesses. Elle gémit lorsque je pince ses mamelons. Je suce le lobe d’une oreille. Ben lui a retiré sa culotte et la lèche. Je glisse ma main derrière mon dos et défait l’attache de ma jupe qui tombe au sol. Je fais de même pour Chantal. Nous ne sommes plus vêtues que de nos ...
    ... bas, telles deux vestales offertes au sacrifice. Ben se relève. Une énorme bosse déforme son caleçon. Nous nous mettons à genoux et le mettons nu. Sa mentule se redresse devant nous. Tendue vers le haut, le gland luisant, fière et conquérante. Ma langue parcourt ce sexe dressé, des bourses au bout. Nous l’embouchons. Nos langues se retrouvent parfois au bout de son gland et se mélangent, l’abandonnant un court instant. Nous le suçons longtemps, lubrifiant son glaive. Nos mains caressent ses bourses, branlent la hampe brûlante. Son sexe grossit encore sous nos caresses. L’une comme l’autre, nous n’avons plus qu’une envie, celle de nous faire pénétrer, de jouir. « Ben, donne-nous ta queue, on en meurt d’envie. Baise-nous. » implore Chantal.
    
    Il nous redresse et nous fait mettre à genoux sur le canapé, l’une à côté de l’autre, les mains reposant sur le dossier. J’entends un gémissement, il s’est introduit dans le sexe de Chantal et la prend à grands coups de rein. Sa main droite s’est immiscée entre mes cuisses et me caresse, préparant le terrain. Il se retire de Chantal, se déplace et m’investit d’une longue poussée. Il est gros, il me remplit totalement. Un râle s’échappe de ma bouche. Ses mains passent autour de mon buste et jouent avec mes seins. Pendant près d’une heure, il passe de l’une à l’autre, nous amenant lentement à l’orgasme. Il varie le rythme et la profondeur de sa pénétration. Plusieurs fois nous croyons arriver au bout du plaisir. Dans la pièce, on n’entend plus ...