1. Chloé à Paris (2)


    Datte: 22/05/2021, Catégories: Trash, Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... fin juin et l’air était doux, idéal pour le footing. Une douche, petit-déjeuner rapide, je me retrouvai confrontée au choix de vêtements. Ma garde-robe n’étant pas pléthorique, je remis la même robe que la veille, mais sans rien dessous. Le métro était bondé, comme d’habitude, personne ne pouvait voir que j’étais nue sous ma robe et ma gêne se dissipa vite. J’allai directement dans le bureau du Directeur ; comme la veille il était vide et je me déshabillai rapidement, ne gardant que mes sandales.
    
    En position, pieds écartés d’un mètre, mains sur la tête, dos à la porte. Si une collègue entrait, je n’y survivrais pas. Je me crispai quand les portes de l’ascenseur s’ouvrirent, sursautai quand celle du bureau fit de même.
    
    — Bien, fidèle au poste à ce que je vois. Tu vas bien, ma petite salope.
    
    — Oui Monsieur, mais…
    
    — Parle, dis ce que tu as à dire.
    
    — Oui Monsieur. Ça me gêne que vous me traitiez de salope, voilà.
    
    — Je ne te traite pas de salope, j’énonce un fait. À poil dans le bureau de ton patron, la chatte dégoulinante…
    
    — Ooh !
    
    Debout derrière moi, il venait de passer sa main entre mes cuisses disjointes et avait glissé deux doigts entre mes lèvres trempées. Mon corps parlait pour moi, je me complaisais dans cette situation trouble et excitante.
    
    — Ouvre la bouche, lèche mes doigts. Là, obéissante comme une petite chienne… Tu as envie de me sucer ?
    
    — ...
    ... Euh, oui Monsieur, mais seulement si vous en avez envie.
    
    — Et pourquoi ?
    
    — Parce que vous êtes mon patron, Monsieur. Je dois donc vous obéir.
    
    — Bonne réponse ; tu as vu que tu mouilles comme une salope ?
    
    — Oui, je vous prie de m’excuser, Monsieur. Je ne le fais pas exprès.
    
    — Bien sûr. Et ça te gêne ?
    
    — Oui, j’ai honte d’être aussi faible. Monsieur.
    
    Je lui répondais facilement, ce qu’il voulait entendre correspondant un peu trop ce que je ressentais. À la fin je mordillai mes lèvres, anxieuse de ce qu’il allait me demander.
    
    — Bien ; je t’autorise à me sucer si tu me le demandes comme il faut.
    
    « Comment ça, comme il faut ? Je vais déjà avoir du mal à lui demander sans mourir de honte, alors en plus je dois trouver les mots qu’il veut entendre. Eh bien…
    
    — Monsieur, est-ce que je peux vous sucer, s’il vous plaît ? hasardai-je.
    
    — C’est tout ? Tu as une autre chance, mais là, franchement minable.
    
    — Euh, bon ! Monsieur, acceptez-vous que je suce votre sexe… votre bite ?
    
    — Tu ne peux pas faire mieux ? Alors c’est non. File travailler, imbécile.
    
    — Mais…
    
    — Tais-toi !
    
    Avant de comprendre j’avais pris une gifle sèche qui fit monter les larmes et brouilla ma vue. La lèvre tremblante, je me retins de bouger et d’augmenter sa colère.
    
    — Je… Je vous prie de m’excuser, Monsieur.
    
    — Allez, file travailler et applique-toi, je ne veux pas t’entendre. 
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