1. Le peintre et sa muse chapitre 2 l'accrochage


    Datte: 22/05/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Le relieur, Source: Hds

    ... sa jupe et élégamment elle retire la petite lingerie qui couvrait son sexe, et elle me la tend. Elle est rouge de honte mais j'ai deviné en elle une envie de soumise qu'il me faudra exploiter.
    
    Je la porte à mon nez afin d’en humer les fragrances et je sens déjà une humidité certaine. Annie n’ose pas me regarder mais je sais que c’est gagné je vais faire ce que je veux d’elle.
    
    Arrivés devant le chalet de jardin Annie m’invite à rentrer :
    
    -"Entrez, voici l'antre de Bernard. Il y passe des heures et des heures à bricoler ici. C'est son domaine".
    
    Elle me dit cela face à moi, avec un regard qui semble être un défi.
    
    Je découvre ce petit chalet avec aux murs des outils, des outils, des boites avec vis, clou, des scies, perceuses... tout bien rangé.
    
    Au milieu, une grande table de travail mais propre. Contre un mur, un canapé, je semble surpris car elle se sent obligée de préciser : "Oui Bernard en profite aussi parfois pour faire la sieste lorsqu'il est fatigué. Il a bientôt 70 ans!"
    
    Alors dans cette ambiance d'intimité, dans ce cadre inhabituel, je ne peux me retenir davantage.
    
    Je m'approche d'Annie, je la prends contre moi et ma bouche cherche la sienne.
    
    Et elle ne recule pas, au contraire, elle ouvre sa bouche, nos langues se rencontrent.
    
    Et tandis que nous échangeons notre premier baiser, je pose mes mains sur la jupe d’Annie à la hauteur de ses cuisses et je remonte vers les hanches entraînant par la même occasion tout le tissu
    
    Sa jupe se réduit ...
    ... à un bourrelet autour de ses hanches, et voilà enfin Annie fesses et sexe à l’air entièrement à ma merci, docile et prête à tout.
    
    Je la soulève en la prenant par les cuisses mon sexe à l’étroit dans mon pantalon se plaque sur le pubis d’Annie elle ne peut pas ne pas le sentir, je n’ai qu’une envie la prendre la faire jouir, je la dépose sur la table ; Annie déboucle ma ceinture et déboutonne mon pantalon qui tombe à mes pieds et elle pose sa main sur ma tige turgescente, bandée à m’en faire mal.
    
    On se regarde les yeux dans les yeux, elle me dit :
    
    - « Mon dieu tu es gros, c'est terrible, c'est un rêve! ».
    
    Je baise mon slip qui rejoint mon pantalon.
    
    C’est vrai la petite main d’Annie a du mal à faire le tour de mon sexe.
    
    Pendant qu’elle me caresse mon vit qui est dur et dressé, d’une main j’écarte un peu plus Annie et de l’autre j’explore son sexe déjà trempé, il est tout lisse, un doigt, puis deux dans son vagin puis je frotte mon pouce sur le haut de sa fente, sous la pulpe de mon pouce je sens son bouton tendu, hors de sa cachette, ses petites nymphes engluées de cyprine entourent mes doigts, mais je me peux pas résister plus longtemps au doux parfum entêtant de la chatte d’Annie, alors je tombe à genoux la tête entre les cuisses d’Annie je n’enivre du doux parfum de sa ruche.
    
    Puis je lape tout ce nectar opalescent, de la langue.
    
    Je nettoie toutes ces petites chairs brûlantes, entre mes lèvres, j’aspire ce clitoris gorgé de sang, tendu vers un plaisir ...