1. Wendy (1)


    Datte: 22/05/2021, Catégories: Hétéro Auteur: marcroomis, Source: Xstory

    ... mon sexe. Wendy ouvre la bouche à s’en décrocher la mâchoire, elle a l’air de souffrir, je n’aime pas ça car la violence, le sadisme, ce n’est pas mon truc. Je suis sur le point de tout interrompre :
    
    — Tu veux que je sorte Wendy ?
    
    — Non ... souffle-t-elle ... Bouge ... Mais tout doucement ...
    
    Je m’exécute, m’enfonce. Le plaisir me prend à la racine de la queue et irradie tout mon corps. Wendy se redresse. Ferme les poings et pousse dessus. - Vas-y ... Fort ! ordonne-t-elle.
    
    J’obéis, recule, puis m’enfonce presque complètement. Je sors presque en entier puis la lui mets à nouveau. J’accélère, trouve le rythme. Mes cuisses claquent contre les siennes. Elle se met à hurler d’une façon tellement animale que j’hésite à m’arrêter : on va se faire chasser, ou pire se retrouver au poste ! Mais elle plaque un oreiller sur son visage. Peu de temps après, nous jouissons tous les deux comme des dingues. Je m’effondre avec la sensation que mes testicules ont été aspirés de l’intérieur. Malgré la clim’ nos corps dégoulinent de sueur. Terrassée, Wendy reste un instant les fesses en l’air puis s’affale à mes côtés.
    
    5.
    
    La saison des pluies touche à sa fin. Cela fait trois mois que nous nous sommes retrouvés pour la toute première fois au Pop Novotel. Wendy m’affole, m’obsède. Elle est une amante exceptionnelle, très joueuse, très au courant de la façon de s’occuper d’un homme et de toutes sortes de nos fantasmes étranges : elle accepte sans poser de questions de garder ...
    ... ses chaussures à talons pendant que nous faisons l’amour (« Patrice aussi adore ça... » commente-t-elle, amusée) et me propose même, un jour, de jouir sur son visage. Elle semble surprise lorsque je décline poliment son offre (« Tu n’aimes pas ça ? Patrice le fait tout le temps... » s’étonne-t-elle)...
    
    Nos rencontres ne me suffisent plus. Je prends de plus en plus de risques. Un jour, je passe la voir chez elle à l’improviste (elle ne me laisse pas entrer), un autre je l’appelle pour lui que je suis en train de me branler en pensant à elle et que je n’en peux plus (elle est avec une amie et me raccroche au nez), lorsque nous nous rencontrons en présence de nos conjoints, mes mains s’attardent sous la table sur ses cuisses satinées (elle me les pince cruellement)... Je sais qu’elle apprécie de se sentir à ce point désirée et qu’elle aussi elle aimerait m’avoir plus souvent à ses côtés. Elle m’a même avoué qu’elle se caressait parfois en pensant à moi et à mon « nice cock » dont elle aime beaucoup la forme et la taille raisonnable. Mais elle se contrôle mieux et ayant trop à perdre en cas de divorce veille à ne jamais se mettre en danger ...
    
    Pourtant, notre douzième rencontre manque de tourner au cauchemar. Visez un peu la scène : j’entre dans le hall de l’hôtel lunettes noires sur le nez avec cet air crâne des beaux gosses à qui la vie ne fait que sourire, mais impatient tout de même, malgré toute l’assurance que je laisse transparaître, d’être un quart d’heure plus tard ...
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