Wendy (1)
Datte: 22/05/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: marcroomis, Source: Xstory
... couples ont eu des frayeurs et ont été suivis jusque chez eux par des affreux clones de Ben Laden. Venue en voiture à vitres teintées, Wendy a pris plus de libertés. Elle est très sexy : robe blanche moulante et très courte, recouverte de dentelles, chaussures à talons noires de bimbo et bracelets de chevilles. Je suis troublé, l’embrasse très tendrement, au coin des lèvres et en posant mes grandes mains sur ses bras menus. Elle me rend mon baiser, très près de la bouche. Nous échangeons un sourire chaleureux.
A table, je suis à côté d’elle. Elle est assise en tailleur, son sac à main entre ses cuisses pour ne pas montrer à tout le monde sa petite culotte. Patrice monopolise la conversation, ses histoires font mouche, les autres se marrent. Je ris aussi mais tout en devant lutter pour ne pas loucher sur les jambes de Wendy. D’autant que son sac a bougé et que je vois son slip noir à chaque fois que je regarde.
Vers onze heures, Wendy bâille et s’étire. Patrice lui propose d’aller dormir dans la voiture. Mais Wendy décline son offre et s’allonge derrière moi, entre la cloison en bambou et mes fesses. Elle s’endort très vite, tournée sur le côté, face au mur. J’ai posé ma main droite par terre, à plat, à quelques centimètres de ses cuisses. Et si j’osais ? Personne ne fait attention à nous : Patrice s’étouffe de rire, nos amis gloussent et Nadia pianote sur son portable. Bientôt, j’effleure les jambes de Wendy du bout des doigts, remonte sous sa robe, m’arrête au bord ...
... de sa petite culotte. Elle ne se réveille pas. Dans mon slip, ma queue se redresse comme un serpent dans un sac en toile, dans ma poitrine, mon cœur se prend pour une rave party : boum boum boum les bpm explosent le compteur ! Je n’ose plus la papouiller mais il y a autre chose que je peux faire : je sors mon portable, fais semblant de consulter mes messages, le garde en main et le fais glisser contre ma hanche pour prendre quelques photos au jugé.
Dans les toilettes du resto, je regarde le résultat et constate que j’ai bien visé : sur les huit clichés, on voit les cuisses et le bas des fesses de Wendy, et entre celles-ci, les dentelles noires d’un slip brésilien. J’ai un peu honte de moi : ce ne sont pas des façons d’homme marié ...
3.
Nous sommes un dimanche, huit jours après mes exploits de photographe amateur ... Je suis allé en ville tôt le matin, dans les locaux de l’ONG pour laquelle je travaille. Un boulot urgent à terminer. Vers onze heures, je rentre à la maison, plié en deux sur mon scooter à cause du vent et de la pluie. C’est la saison des typhons. La semaine dernière, un village du sud a été dévasté. Les rafales de vent font vibrer les toits en tôle des échoppes. Je n’arriverais jamais chez moi dans ces conditions : le danger est réel. Autant passer voir Patrice, il habite à deux pas. Je bifurque, m’enfonce à toute allure dans les méandres de son quartier résidentiel.
J’arrive chez le Belge, klaxonne, ouvre le portail et rentre pour m’abriter dans le ...