Les Jardins du Luxembourg
Datte: 22/05/2021,
Catégories:
fh,
jardin,
intermast,
confession,
Masturbation
Auteur: Pericles, Source: Revebebe
... coller à moi tout en écartant un peu plus les jambes, m’ouvrant ainsi totalement l’accès à son intimité. Elle en profita pour glisser sa main sur mon sexe qui, de son côté, commençait à se sentir très à l’étroit dans mon pantalon.
Cependant, j’avais ébauché dans ma tête un petit plan d’action et je ne voulais pour l’instant m’occuper que d’elle, et d’elle seule : je glissai ainsi un doigt en elle, pénétration qui arracha momentanément sa bouche de la mienne et lui fit pousser un petit cri. Mon index fut bientôt rejoint par le majeur, et ils explorèrent doucement son intimité, tournant et caressant ses parois internes, innocemment à la recherche de cette zone, si sensible et un peu rugueuse, d’habitude positionnée juste au-dessus de l’entrée du sexe, qu’on appelle parfois le point G. En même temps, mon pouce s’assurait que son clitoris ne se sentait pas délaissé. Les femmes sont plus souvent réceptives à des caresses clitoridiennes que vaginales aussi, j’essayai de m’assurer de bien stimuler les deux zones.
Pendant ce temps, ses mains caressaient mon visage, ma nuque, mes épaules, et sa langue, délaissant pour quelques instants ma bouche vint se promener dans mon cou, dardant sa pointe sur le petit creux derrière mon oreille. Elle contenait de justesse ses gémissements et ses soupirs, ponctués d’encouragements et d’appels à la faire jouir. La houle de son ventre accompagnait le mouvement de mes doigts, et mon imagination toujours fertile dans ces moments-là, l’imagina ...
... me chevauchant, mon sexe profondément enfoncé dans son ventre.
Cependant, elle et moi nous contentions de mes doigts pour le moment…
Ma bouche se sentant délaissée, je me penchai et goûtai moi aussi la saveur de sa peau, glissant de son cou jusqu’à la naissance de sa poitrine. Puis tout en laissant les doigts de ma main droite prolonger leur massage sensuel sur et dans son sexe, je me servis de ma main gauche pour dégrafer les trois premiers boutons de son chemisier. Je dévoilai ainsi un très joli soutien-gorge en dentelle noire, coordonné à son string, qui moulait deux splendides globes, véritables pousse-au-crime ! Ne pouvant le dégrafer, Mélanie baissa d’elle-même son soutien-gorge, et je me jetai sur la peau pâle mais délicieuse de ses seins bien ronds, surmontés de deux tétons bruns et déjà bien durs que je happai délicatement entre mes lèvres. J’alternai alors sur eux suçotements, mordillements, les aspirant, les faisant rouler sous ma langue.
Les gémissements de Mélanie se faisaient de plus en plus rapides, et, pendant qu’elle me caressait les cheveux tout en appuyant ma tête sur sa poitrine, je la sentais se tendre peu à peu comme un arc. La houle qui secouait son ventre s’était fortement accélérée et je sentis les parois de son vagin se resserrer sur mes doigts au moment où je plaquais ma paume sur son clitoris. Avec un petit râle discret, elle jouit… Ses yeux fermés, sa bouche entrouverte laissa s’échapper un long gémissement de bonheur.
Pendant quelques ...