Épître à une jeune femme soumise (2)
Datte: 21/05/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: chloe23, Source: Xstory
Nous arrivons à la mauvaise heure. Enfin, pour toi.
Les voisins rentrent chez eux, et nous en croisons plusieurs, sur le trottoir, dans le hall de l’immeuble, ou dans l’escalier. Tu ne sais plus où te mettre, avec ta chemise ouverte sur tes seins qui pointent, et tu es soulagée lorsque j’ouvre la porte de mon appartement.
Je dépose mon sac dans l’entrée, et je te conduis dans le séjour, une pièce à vivre, regroupant le salon et le coin repas, avec une cuisine ouverte. La pièce est éclairée par une large baie vitrée donnant sur un balcon, que j’ouvre en grand.
Avant de me diriger vers ma chambre, je te lance :
— Fous-toi à poil. J’ai des choses à récupérer pour toi dans mes bagages.
Je mesure ton trouble. Des appartements font face au mien, et la baie leur offre une vue plongeante sur mon balcon et chez moi. J’ai quand même le temps de te voir faire sauter les quelques boutons fermés de ta chemise, avant de disparaître à tes yeux.
Dans la chambre, je me change rapidement. J’enfile une minuscule robe fourreau, en maille extensible noire. Aucune bretelle ne la retient, et le tissu ajouré laisse passer mes tétons dardés. Et bien sûr, il ne cache rien, surtout pas le sillon de mes fesses, ni ma fente que ma mouille recommence à faire briller.
Je prends quelques objets dans mon sac de voyage, et je retourne auprès de toi. Je te retrouve nue, debout au milieu de la pièce, cachant tant bien que mal ta poitrine et ton sexe.
— Ça veut dire quoi, ces façons de ...
... pucelle ? Tu n’es pas là pour jouer les saintes-nitouches, mais pour t’exhiber, et que tout le monde sache que tu es une salope. Et en plus, ma salope soumise.
Je me suis rapprochée de toi. Je saisis tes poignets, et je t’oblige à enlever tes mains. Je me plaque contre ton dos, et je te force à avancer jusqu’à la baie vitrée ouverte. Tu sens la chaleur du soleil couchant sur ton corps nu, et tu constates, effarée, que des fenêtres sont ouvertes en face, et que des voisins vont et viennent. Aucun ne semble t’avoir remarquée, mais ça ne devrait pas tarder...
Je te fais face, et je sors deux pinces reliées par une chaînette. Je prends tes tétons entre mes doigts, je les tourne, je les pince, de plus en plus fort, t’arrachant des grimaces de douleur.
— Tu aimes que je te fasse mal, hein, espèce de chienne ?
— Oui, Maîtresse, réponds-tu les larmes aux yeux.
— Très bien, comme ça, tu vas profiter de cette douleur.
Je coince tes aréoles dans les pinces, munies de petites vis qui me permettent de régler la pression exercée. Lorsque tes seins banderont, ce sera encore plus douloureux.
Au milieu de la chaînette pend une autre chaînette, à laquelle est fixée une troisième pince... Lorsque tu sens ma main descendre sur ton ventre, tu comprends ce qui va t’arriver.
— En plus, tu mouilles comme une fontaine, ma salope, te dis-je en portant à ta bouche mon doigt, plein de ta cyprine. Suce...
Pendant que tu lèches mon doigt, avec mon autre main, je débusque sans ...