1. La « Lancenoir » 05


    Datte: 13/05/2018, Catégories: Sexe Interracial Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica

    ... laisser cette famille dans une frustration sexuelle intenable. Mais il serait, lui aussi, resté sur sa faim, la bite bien dure, et sans avoir eu la satisfaction de défoncer et d'humilier ces sales bourges racistes.
    
    « Montrez-moi ce trou du cul, que je le défonce », annonça Amadou.
    
    Sa queue bien dressée par les caresses de la maman de Léa, il positionna son gland à l'entrée du cul de la jeune fille. Ses parents regardèrent l'élargissement progressif de l'anus de leur fille avec des sentiments mitigés. Ils avaient fait tout leur possible pour diminuer autant que possible la douleur qu'elle pourrait ressentir et la plaignaient, mais en même temps la mère fantasmait d'être à la place de sa fille, et le père de celle du noir.
    
    La rondelle commençait à avoir la taille nécessaire à une balle de tennis pour y entrer. On y était presque. Hélène donna un oreiller pour que sa fille puisse mordre dedans, évitant ainsi qu'elle ne crie et n'ameute tout le quartier. Quand tout d'un coup, la bite commença à disparaître! Elle s'enfonça dans le trou du cul de Léa. Elle en lâcha son oreiller oubliant de mordre et préférant hurler :
    
    « OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOHHHHHHH!!!! »
    
    Un cri sans fin.
    
    La mère voyant en action la bite marbrée toute huileuse ne put que se féliciter de sa prévenance. Si Amadou avait baptisé le cul de Léa au naturel, elle y serait probablement restée. Au lieu de ça elle constatait que le chibre, quoi ...
    ... qu'énorme, coulissait avec facilité.
    
    Il ne fallut pas attendre longtemps avant qu'une étrange odeur leur parvienne, Hélène pensa une seconde qu'elle avait laissé quelque chose sur le feu. Mais elle réalisa bien vite que l'odeur provenait du postérieur de sa fille. Elle sentait le beurre brûlé! Il ne fallut alors que peu de temps avant de constater qu'à chaque coup de queue, du beurre bruni était éjecté du cul de leur fille pour atterrir sur leur lit. La puissance exercée par la bite d'Amadou était phénoménale. Léa avait les yeux révulsés, on ignorait si elle était encore consciente, sans doute était-elle partie dans un monde entre plaisirs et douleurs. De sa bouche s'écoulaient des flots de bave qu'elle semblait incapable de contenir. Amadou, lui était bien plus maître de la situation, il décida de faire participer les parents à sa chevauchée anale :
    
    « Alors, quels conseils donneriez-vous à votre fille pour qu'elle profite au mieux de son enculage?
    
    — Heu... réagirent les parents, les yeux fixés sur la bite qui coulissait comme piston.
    
    — Vous, Monsieur, quand vous enculez votre dame, qu'est-ce que vous aimez qu'elle fasse? »
    
    Jean ne répondit au départ que par un silence gêné. Il n'avait jamais sodomisé sa femme. Une pratique de barbare selon lui, et il n'était pas étonnant que ce sauvage de noir l'apprécie. Mais il ne pouvait s'empêcher de penser à ce qu'il éprouverait à sa place, la bite bien à l'étroit dans le cul de sa fille. Car à ce moment, ce n'était pas sa femme ...