Jacqueline aime tellement se faire enculer mainten - Histoires de Sexe

Jacqueline aime tellement se faire enculer mainten

... en travers et Jacqueline se met à quatre pattes pour le sucer. Il me paraît clair que leur but est que j’encule Jacqueline. Je ne me fais pas prier. Et je compte bien ni la sodomiser, ni l’enculer mais lui défoncer le cul.

Je lui lubrifie un peu l’anus et surtout mon gland, je tire sur ma tige pour qu’il soit bien gonflé, je pousse sur son ´´aréole anale ´´ et glisse en forçant un peu, sans plus. Jacqueline sort la bite de Laurent pour exprimer un « hummmm » de plaisir. Oui, depuis quelques temps, elle prend aussi beaucoup de plaisir lors de l’introduction première. Je vais doucement, pour bien lubrifier ma queue dans son cul, et commence à l’enculer en allant au plus profond et en sortant presque mon gland. Elle a de plus en plus de mal à sucer et encaisser ma bite dans son cul en même temps. Cela dur quelques minutes, l’alcool m’a dopé. Laurent débande un peu et se lasse, je peux le comprendre, Jacqueline prend tellement de plaisir par le cul qu’elle n’arrive pas à le sucer. Il se lève et retourne dans le salon pour tiser. Moi, je ne compte pas m’arrêter là, je vais même tout faire pour l’enculer longuement. Dans ma tête, je me dis, tu vas avoir ce que tu voulais. Quand je sens que je risque de ne plus contrôler, je sors ma bite de son cul et y retourne de plus belle, jusqu’à ce que je sois moins sensible et là, j’ai commencé à l’enculer comme je ne l’avais jamais fait. Je lui tape dans les fesses à chaque coup de reins. Elle commence à être cru, ça me motive encore ...

... plus, une véritable chienne !! « J’aime quand tu m’encules Benoît, ta bite elle est dans mon cul, continues, encore, encules moi ».Laurent est à quelques mètres, la chambre et le salon communiquent. Encore plus que d’habitude, je pense que la présence de Laurent l’excite. Et lui, même si il est partie boire, je pense que c’est ce qu’il voulait. Elle avait du lui dire tout des enculades qu’elle prend avec moi. Je me déchaîne tellement sur son trou que je suis en sueur. Aucune idée de combien de temps cela a duré. Je ne sortais plus de son cul. Quand je sentais que je débandais un peu, je mettais des coups de bite encore plus forts pour rebander. Je lui ai défoncé le cul sans ménagement. Elle n’était plus aussi loquace, la tête basse, son cul m’appartenait, comme si elle me l’avait confié pour que j’en fasse ce que je veux. Commençant à être épuisé aussi et me disant qu’elle avait eu son compte, je me concentre au maximum, bien décidé à éjaculer dans son trou trempé et dilaté. J’arrive à faire monter mon sperme et éjacule, agrippé à ses fesses en râlant de plaisir, j’accompagne mes jets interne par des coups de reins comme pour lui mettre plus profond, en fait c’est simplement pour prendre encore plus de plaisir dans cette jouissance intense.

C’est rare que je m’exprime dans ces moments là, mais fier de moi : « et bien, c’était rudement bon ».

Je sors de son trou béant, elle met sa main directement entre ses cuisses sentant le mélange de sperme et de sécrétions anales couler. ...