Ses Expériences Continuent 01
Datte: 21/05/2021,
Catégories:
Épouses affectueuses,
Auteur: bygoldcaesar, Source: Literotica
... Fred, allongé sur elle, le visage plongé dans sa chevelure, les mains agrippée aux fesses, le corps entier en contact avec celui de Vincianne, sentait monter son plaisir, lui aussi, comme une force impétueuse.
Ses pénétrations se faisaient plus rapides et plus profondes, son gland se dilatait encore, ses burnes étaient si tendues qu'on aurait cru qu'elles voulaient rentrer en lui. Je pouvais voir la bite, maintenant énorme, aller et venir dans ma femme, sans presque plus sortir d'elle, mais semblant entrer un peu plus loin à chaque coup de hanche.
Les fesses de Fred s'étaient serrées comme un étau et tout à coup, alors qu'il se libérait, toute tension s'évanouit d'un coup. Les fesses s'écartèrent et je pus, à nouveau, voir la queue dont le puissant ressort s'animait au passage du sperme libéré. L'anus palpitait, de même que celui de Vincianne, à mesure qu'il la remplissait d'une abondante production séminale. Les orteils de Fred et de Vincianne s'étaient tordus en tous sens sous la jouissance. Ils s'abîmaient l'un en l'autre, Vincianne se lâchant en même temps, chaque goutte de sperme jaillissant en elle produisant un orgasme, chaque spasme de la bite giclante faisait se resserrer sa chatte autour du membre, attirant plus encore de sperme.
Fred glapissait, les couilles s'assêchant, les yeux fermés sur des fulgurances rougeâtres. Il bavait sur la joue de Vincianne qui, les yeux ouverts sur un monde connu d'elle seule, ressentait chaque centimètre carré de la peau de ...
... Fred, de son torse, du haut de ses cuisses, de son ventre contre elle, de ses mains sur ses fesses. Elle ressentait la peau incroyablement douce du gland à travers les flux de fluides mêlés, rapidement perdre de son volume, les veines de la hampe alléger leur pression sur les parois de son vagin, les burnes se détendre en élastiques rondeurs. Elle avait l'impression de déborder de sperme, que sa chatte était, maintenant, dilatée par un trop plein de ce foutre étranger qui s'insinuait partout en elle, poussant vers les replis secrets de son utérus, poussant, toujours plus loin en elle, à l'assaut de son corps, comme il était programmé pour le faire. Elle suivait le trajet de ce sperme en imagination, le rêvant au fond de son vagin, dans son utérus, presque dans ses veines, puis dans tous ses membres. Elle voulait accueillir ce mec en elle, pleinement. Elle refusait de le lâcher.
Elle empoigna les couilles et les malaxa pour en extraire tout le suc. Les doigts blancs délicats pétrissaient les bourses brunes, les ongles s'enfonçaient dans les poils crépus, la paume s'offrait comme un reposoir aux productives testicules. Fred s'écarta doucement, la queue sortit, à regret, de la chatte engluée et, molle à présent, vint se poster à l'entrée de la bouche de ma femme, pour être nettoyée. Elle la prit avidement et téta les liqueurs mêlées. Fred remit la bite propre dans son caleçon et se rhabilla, tout comme Pierre. Ils se dirigèrent vers la sortie, jetant vers ma femme étendue, ...